Le troisième anniversaire du suicide de Tal Pieterbraut-Merx était un rappel douloureux de son absence. Il est une épine toujours plantée dans nos cœurs, une épine qu’on vient remuer, encore. Mais le souvenir de Tal est aussi une présence continue et joyeuse dans nos engagements antiracistes. Avec les autres camarades, nous avons parlé souvent de Tal depuis le 7 octobre : comment aurait-il pensé ce qui arrive là-bas et ici, quels mots précis et percutant aurait-il déniché, comment (...)
