" Ecrase les machos, t’es au volant de ta vie ! "
L’histoire de la date du 8 Mars nous montre qu’elle met en lien les luttes féministes et le mouvement ouvrier. Nous voulions en étant visible sur le périph s’adresser à des personnes qui partent travailler, des personnes lambdas.
" 8 Mars dans ta face, la journée des femmes c’est tous les jours ! "
On ne souhaite pas revendiquer qu’une égalité salariale.
Je revendique ce que moi j’ai envie d’être - c’est très triste d’en être là mais vivre comme on l’entend ne sera possible qu’avec la destruction du patriarcat. On attend pas d’un Etat, ou d’une autorité, qu’elles nous libèrent, nous prenons d’ors et déjà le pouvoir.
" Les voies du plaisir ne sont pas toujours pénétrables. "
Les luttes féministes ne s’arrêtent au féminisme, c’est tout son sytème, ses flics, ses caméras, Bagelstein... qu’elles combattent.
" Mon corps, c’est moi qui l’écrit. C’est pas toi qui me normes. "
Parce-que la normalisation passe par l’oppression des corps, et qu’il n’y a pas que le 8 Mars, plusieurs groupes ont pochorisés/collés dans les rues cette semaine. L’initiative est à reproduire, rien de plus simple : des radios, de la bombe, de la colle, des capuches, des potes et la rue est à nous !
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