Nous avons appris par médiapart que des obligations de quitter le territoire français ont été délivrées à des personnes brésiliennes séropositives dont certaines sont LGBTQI.
Face à cette situation nous avons décidé de zapper la permanence d’une députée LREM.
En pratique, alors que des personnes risquent d’être déportées vers un pays dont le gouvernement a annoncé faire la chasse aux personnes LGBTQI et séropositives, une vitrine a été partiellement recouverte de faux sang et d’affiches dans la plus pure tradition des actions d’act up.
Un activiste est actuellement gardé à vue, tandis que la présidente pourrait avoir à se rendre à la police.
C’est la première fois que le pouvoir judiciaire est utilisé pour répondre à un zap.
Cela s’inscrit dans le cadre de la répression sans précédent des mouvement sociaux qui sévit aujourd’hui.
Pour la première fois le parti au pouvoir préfère envoyer les flics plutôt que répondre de ses agissements lorsqu’il est interpellé par act up.
La répression ne nous fera pas taire, pas plus qu’elle ne peut éteindre un mouvement social.
Nous dénonçons la violence de LREM et appelons à un rassemblement devant le tribunal de grande instance de Toulouse de 12 heures à 14 heures
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