Dans un contexte où pour être « solidaire », l’État nous oblige à rester chez nous et réduire nos contacts, on trouve important de se poser la question de notre solidarité, en mots et en actes, face au virus de l’État.
Un des outils des pouvoirs pour asseoir leur autorité, c’est la répression. Elle qui cherche à briser les individus en révolte ou tout.e.s celles et ceux qui ne correspondent pas aux normes de ce monde, qui ne rentrent pas dans les cases imposées par les puissants.
On voudrait causer de solidarité à partir de situations qui nous touchent de différentes manières. Que ce soit l’incarcération de Jennifer¹, le procès de 9 compagnon.ne.s en belgique², de 7 autres à toulouse3, des diverses opérations répressives contre des anarchistes en Italie4, et de plein d’autres situations qui traversent nos vies.
Est ce qu’on est solidaires de conditions matérielles, d’actes, d’idées, ou un peu de tout ça ?
Quelle différences on fait entre soutien, entraide et solidarité ?
Qu’est ce qui est moteur dans nos manières de nous solidariser ? Et comment on la met en pratique ?
Ou au contraire, quelles sont nos limites ou impossibilités ?
On propose de se retrouver pour en discuter :
le Jeudi 29 Octobre, à 17h30
à l’Obs (87 rue du 10 avril, métro Jolimont, Toulouse)
////////////////////////////////////////////////////
Les liens vers des textes pour chaque situation :
¹ https://nantes.indymedia.org/articles/51416
² https://lalime.noblogs.org/proces-contre-des-anarchistes-en-belgique/
3 https://nantes.indymedia.org/articles/51080
4 https://nantes.indymedia.org/articles/50980
complements article
Proposer un complément d'info