Des mois après le début du "mouvement des Gilets-jaunes", la rage rencontrée dans la rue ainsi que les différentes pratiques qui s’y sont développés (destruction de structures capitalistes ou étatiques, affrontements avec la police, pillages, vague de sabotage diffus, divers tentatives de blocage des autoroutes ou des rond-point etc.) côtoient des traits politiques plus problématiques (drapeaux français, marseillaise chantée en cœur, discours travailliste et citoyenniste, sexisme, racisme etc.)

Les Habitants.tes de l’HLM du 25 rue des Artistes résistent aux poses de compteurs Linky depuis le 11 février ! Au piquet anti-Linky, baptisé PINKY, en bas d’immeuble de 8h à 18h on informe les voisins.nes de leur droit au refus et on résiste aux mensonges et pressions diverses des poseurs de compteurs de Paréra, sous-traitant d’Enedist.

Retour sur l’acte VI de la lutte contre le chômage et la précarité où l’agence toulousaine de TINGARI a été occupé. Pourquoi s’opposer aux multinationales qui font leur beurre sur le dos des chômeur.es.

Venez découvrir ou redécouvrir Mad Marx et la scène hardcore locale. En tout cas profiter d’un dimanche ciné et musical !

Acte VI - Lundi 18 mars RDV à 10h devant le TNT (Théatre de la cité) rue Pierre Baudis

Appel Acte V - Jeudi 14 mars RDV 9h30 métro Palais de justice

La mutuelle transpédésgouines existe depuis bientôt deux ans. On y redistribue de la thune entre nous tous les mois, et on s’entraide sur d’autres galères que l’argent (administrations, logement, courses...). Rendez-vous à l’Obs (87 rue du 10 avril) lundi 11 mars à 18h pour un retour d’expérience, un bilan, et des échanges pour voir les envies pour la suite ! En mixité choisie sans personne cis hétéro/hétéra.

Parution du n°2 du journal Jaune, le journal pour gagner

Le 12 février dernier, à Blagnac, la CCI a rassemblé « les premiers de cordée » chers à Macron, pour que l’Etat, en la personne du Préfet de région, entende leurs doléances. Macron s’y est trouvé fort mal payé de son affection. L’action du gouvernement y a été en effet critiquée comme insuffisamment « pro business » : la compétitivité du patronat français serait ainsi entravée par « la charge » représentée par les 20 % de fonctionnaires supplémentaires par rapport aux autres Etats (...)

En ces temps de saines agitations il semble intéressant d’approfondir ce que peut porter le fameux slogan anti anti anti capitaliste. Il ne s’agit pas de s’opposer à des dérives d’un systèmes carnassier en se protégeant derrière des frontières ou des drapeaux, mais bien de foutre à bas la propriété, l’Etat et tutti cuanti...