Dans un article paru le 29/08 sur 20 Minutes Lille, on découvre la récente "polémique" sur les riverains de la résidence secondaire des Macron, qui ont réussi à faire remiser les armes de guerre qu’arboraient les 40 CRS déployés pour protger le couple présidentiel.
Les syndicats de flics y font part de leur mécontentement de ne pouvoir sortir leurs joujous, arguant que les terroristes utilisent désormais des armes lourdes et qu’une telle consigne leur semble dangereuse.
Plus intéressant : en dernier recours, un représentatn d’Alliance à Lille a cette sortie :
« On préfère soigner l’image plutôt que de laisser les collègues faire leur boulot. A ce niveau-là ce n’est pas un problème de moyens ou de matériel, mais d’utilisation de ces moyens. On verra bien ce que ça donnera lors des manifestations du mois de septembre… »
Ambigue, cette phrase indique d’une part la continuité entre la pensée anti-terroriste et la répression des mouvements sociaux. D’autre part, elle laisse entrevoir leur vision sur les mouvements à venir en septembre : probablement massifs et avec un fort niveau de tension.
complements article
Proposer un complément d'info