Les premières heures, si froides, du 25 février ont été réchaufées par l’incendie, criminel et sans vergogne, d’une bagnole de Circet (boîte de télécom) aux Amidonniers. Le dévelopemment des télécoms transforme le monde en une colonie de travail à ciel ouvert, mais il y a que le pouvoir qui a intérêt à prétendre que la révolte devient impossible. Il y a toujours moyen de frapper.
Cette caisse flambée visait à saluer Boris, un compagnon de Besançon réprimé pour avoir grillé des antennes-relais, et les personnes arrêtées en novembre à travers l’Occitanie pour cramage d’antennes-relais et radars.
Également, le 24 février la justice italienne confirmait qu’Alfredo Cospito restera à l’isolement, ce qui revient à essayer de le tuer. Ce feu voulait aussi épauler le combat contre ce monde de barbelés.
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