2023. Macron tente d’imposer par la force une réforme des retraites dont personne ne veut. Face à ce coup d’Etat institutionnel et policier, des millions de personnes se mobilisent dans les rues, les boîtes, les universités, les syndicats, créant des collectifs de discussion stratégique mais aussi pour parler solidarité. La colère est présente dans toutes les villes et le gouvernement déploie tout ce qu’il a de plus violent dans sa musette pour faire accepter sa loi à tout le monde.
Malgré son intransigeance et la violence de la répression, la lutte continue dans la rue, mais aussi ailleurs, dans tous les espaces symboliques et objectifs où l’on tente de s’organiser, de discuter, de remettre en cause les normes et les règles. Car c’est partout que se joue la contestation et qu’il faut considérer le rapport de force : dans les gestes du quotidien, les aides ponctuelles, les ruptures, les déconstructions, les petits mots qui permettent à tous et à toutes de garder le moral dans cette guerre sociale menée par Macron pour l’intérêt des actionnaires et des banques.
C’est dans cette optique que se sont mobilisés une vingtaine de groupes punk toulousains, offrant un de leurs titres dans le cadre d’une compilation appelée "La beauté est encore dans la rue" en soutien à la caisse de grève AG Précaires Educ’.
Il y a peu sortait l’édition numérique en attendant une édition physique. Il est toujours temps de les soutenir au bout de ce lien
La solidarité est toujours notre arme,
Merci pour votre intérêt et votre soutien.
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