"La domestication industrielle" c’est un texte qui a été publié en 1987 dans la revue du collectif, qui se définissait comme une bande de délinquant.es révolutionnaires. Le texte revient sur deux siècles "d’avancées" et de "progrès", aux frais des classes laborieuses et du reste du vivant. ça parle de la perte progressive d’autonomie et des diverses résistances à la construction de la société carcérale dans laquelle nous vivons.
"Trans n’est pas transhumanisme" Le transhumanisme est un mouvement culturel et intellectuel international prônant l’usage des sciences et des techniques afin d’améliorer la condition humaine par l’augmentation des capacités physiques et mentales des êtres humains et de supprimer le vieillissement et la mort (et quelques maladies). Certain.es personnes considèrent que prendre des hormones et faire une opération de "réassignation sexuelle" sont des choses qui s’approchent du transhumanisme. Certaines personnes considèrent aussi que refuser la technologie et lutter contre la société industrielle veut dire revenir à l’age de pierre et que la "nature primitive" un homme une femme, c’est ça l’idéal qu’on a envie d’atteindre. Ce texte critique ces points de vue, certes ici caricaturaux, mais tout de même un peu trop répandus.
Les deux textes sont disponibles en ligne : La domestication industrielle -> http://1libertaire.free.fr/la-domination-industrielle-A5-cahier-20p.pdf Trans n’est pas transhumanisme -> https://infokiosques.net/spip.php?article1805 Ce ne sera pas nécessaire d’avoir lu les textes avant pour participer à ce moment, l’idée est de les lire ensemble. Nous précisons que ce n’est pas parce que nous proposons ces textes que nous sommes entièrement d’accord avec leur contenu. Nous estimons qu’ils apportent des points intéressants, et servent de bonne base de discussion, afin d’aiguiser nos couteaux contre cette société techno-indus gerbante qui détruit tout ! Si tu veux en proposer d’autres, n’hésite pas à en ramener quelques exemplaires !
On propose de se rejoindre à 17h à l’Impasse, squat situé 1 impasse Lapujade, à Toulouse, et on aura le lieu jusqu’à 22h (on finit avant si on veut et chacun·e part quand iel le sent). On essaiera de faire des pauses régulièrement. Pour ne pas mourir de faim, on se dit que ça peut être sympa de partager le repas et/ou grignoter un peu. Hésite pas à ramener des trucs (vegans de préférence).
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