The Watermelon Woman, Cheryl Dunye, 1h30, 1996.
"Il faut parfois écrire sa propre histoire. The Watermelon Woman est une fiction."
Cheryl Dunye fait un film dans lequel elle joue le rôle de Cheryl, une jeune réalisatrice qui travaille dans un videostore et qui, intriguée par la manière dont est créditée une actrice noire dans le générique d’un film des années 30, décide de se lancer sur les traces de "the Watermelon Woman". Plus son enquête avance et plus Cheryl et "la femme pastèque" semblent avoir des choses en commun, autant dans leur passion pour le cinéma que dans leur vie amoureuse et leurs sociabilités. Entre fiction et documentaire, ce focumentaire retrace le cheminement d’une gouine noire de Philadelphie qui glane, collecte, rassemble tout un tas d’archives afin de réécrire l’histoire des modèles qu’elle aurait aimé avoir.
Aussi, et surtout, ce premier long métrage de Cheryl Dunye est un des rares à traiter, qui plus est de manière intersectionnelle, la question des représentations à l’écran des femmes noires et, plus particulièrement, des relations lesbiennes entre personnes noires et personnes blanches.
Entre fiction et documentaire, ce focumentaire retrace le cheminement d’une gouine noire de Philadelphie qui glane, collecte, rassemble tout un tas d’archives afin de réécrire l’histoire des modèles qu’elle aurait aimé avoir.
Aussi, et surtout, ce premier long métrage de Cheryl Dunye est un des rares à traiter, qui plus est de manière intersectionnelle, la question des représentations à l’écran des femmes noires et, plus particulièrement, des relations lesbiennes entre personnes noires et personnes blanches.
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