Dans les années 1960, certains avaient théorisé une critique de la « société de consommation » naissante. C’était l’époque où l’industrie culturelle avait décidé d’investir notre « temps libre », nos « loisirs ».
De simples producteurs exploités, nous devenions également consommateurs aliénés.
Dans nos années 2020, l’omniprésence du numérique renouvelle cette industrie culturelle et sa pénétration dans les moindres aspects de nos vies. Nous consultons nos smartphones plusieurs centaines de fois par jour, gavons de données les Gafam et nous abrutissons devant un flux continu d’images...
Sans parler des possibilités de contrôle permises par ces technologies.
Pour combattre cette « société du Spectacle »2.0, notre collectif trouve l’un de ses appui dans les thèses dites « anti-industrielles ».
Or, il se trouve que le courant anti-industriel est actuellement sous le feu nourri des critiques.
Selon certains écrits, les anti-industriels – nous y compris, sans doute – seraient « réactionnaires », « proto-fascistes », « covido-négationnistes » et « complaisants avec l’extrême droite » et il s’agirait d’« élever des digues » antifascistes, c’est à dire de rendre les anti-industriels indésirables dans les luttes sociales.
Allons bon ! Qui a peur de la critique anti-industrielle ?
La suite est à lire sur le blog du collectif Ruptures, ici
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