GPV, Castalides, Roms... il n’y pas que les décisions de l’Etat et de la mairie, des affirmations existent du côté des gens !
Le logement ne doit pas être traité par la stigmatisation des pauvres, le sécuritaire, le racialisme
Le logement, comme d’autres points concernant la vie d’une partie de la population, est traité par l’Etat avec mépris, indifférence et sans la moindre prise en compte des gens concernés.
Que ce soit le GPV, l’évacuation brutale des Castalides, les expulsions de squatts, les destructions des camps de fortune des roms, ... l’Etat et la Mairie font le choix de traiter la question du logement par le sécuritaire, la stigmatisation des pauvres et par le racialisme.
Pour qui veut intervenir sur cette question, du point du respect et des droits de chacun, se posent plusieurs questions ; les deux suivantes nous semblent importantes :
• Comment traiter la question du logement, non pas exclusivement par le biais de l’urgence, mais comme un processus destructeur qui peu à peu mène des gens à la rue ou en grande difficulté, processus sur lequel on peut agir et trouver des chemins collectifs ?
• Comment "prendre sa place" sur cette question ? notre expérience nous fait dire que quand des gens, en situation, prennent leur place, cela crée un autre possible que la seule décision étatique. Les affirmations des gens, leur propre capacité à parler et à dire sur la situation, influent sur le cours des choses et devient un possible.
C’est de ces points que nous vous proposons de débattre.
Rencontre le jeudi 07 Novembre à 18h30
Espace DURANTI, salle au 3° étage
Rue du Lieutenant Colonel Pelissier, Métro Capitole, Toulouse
Dans le cadre des "Rencontres pour penser l’Aujourd’hui" , proposées par Ceux qui veulent le pays pour tous.
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