Certain·es sont allé·es à Besançon, d’autres en Haute-Loire pour renforcer des luttes locales contre des projets d’accaparement de terres. Nous nous sommes rassemblé·es pour désarmer des sites industriels parisiens. Nous avons rencontré des collectifs et des personnes déterminées à agir contre la destruction de nos conditions de vie, et à s’organiser pour cela.
Pour cette deuxième saison, la campagne des Soulèvements de la terre s’attaque à l’agro-industrie. Dans le marais poitevin, la lutte contre les méga-bassines et l’accaparement de l’eau a pris de l’ampleur cet automne, et un nouveau moment de mobilisation se prépare pour fin mars. Dans la vallée du Rhône, les lyonnais·es ciblent le siège de Bayer-Monsanto, dont on ne présente plus les méfaits. Ils nous appellent à y converger le 5 mars et, d’ici là, à organiser localement des actions contre d’autres sites Bayer-Monsanto.
L’agro-industrie, tout comme les autres multinationales du désastre, ne tomberont évidemment pas demain. Ces actions sont donc appelées à durer et à faire naître localement de nouveaux élans, ou à renforcer des luttes existantes.
Le bassin toulousain est un pôle majeur dans la recherche et l’industrie des hautes technologies. On y expérimente déjà des fermes numériques dans le cadre d’un projet régional dénommé Occitanum.
Les prochaines saisons pourraient être l’occasion de se rencontrer pour celles et ceux qui refusent de laisser les technocrates dessiner les paysages à venir et nos façons de vivre.
Nous vous intivons à venir discuter de tous ça le Mercredi 16 Février à 20h00 au local Piquemil. Nous parlerons de la campagne des Soulèvements de la Terre, des dates à venir et des perspectives à plus long terme.
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