Ces violences institutionnelles ont mille replis et il n’est pas possible d’imaginer un "bon" processus d’évaluation. Tout tri doit aboutir à une part d’exclu c’est mécanique.
Cette constante morbide des exclue du placement est incontournable, "si tout le monde gagnait ça ne serait pas du jeu" et les Conseils Départementaux ne réaliserait pas les économies attendues [1].
Voilà pour le contexte… Et puis il y a autonomie créée en avril 2016 en vue d’apporter un soutien matériel, moral et administratif qui fédère ces jeunes. C’est près de 8 jeunes sur 10 qui sortie de la protection par le DDAEOMIe est ensuite rétablit dans ses droits après le travail du collectif. Depuis presque 2 ans un ancien hôtel est occupé dans le nord de Toulouse. Dans des conditions précaires des dizaines de jeunes organisent leur survie et leurs luttent pour obtenir la protection que l’état leur doit. C’est dans le rez de chaussé de cet immeuble où se trouve un ancien bar transformé en école et salle polyvalente que nous avons posé nos micros. 5 micros, une table de mixage, un véritable studio radio que les jeunes ce sont immédiatement approprié. Il a suffit d’ouvrir les micros et de les laisser parler entre eux pour qu’ils témoignent et analyse les tenants et les aboutissants de leur situation. Une chose ressort clairement le DAOMIE doit fermer… Les 5 jeunes que vous allez entendre ce sont auto interviewé sauf quelques questions posé par des soutien sur la fin… Ils n’ont pas souhaité que leurs prénoms apparaissent par peur de mesure de rétorsion.
Bonne écoute.
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