Après une période de repos estivale plus que nécessaire, nous vous proposons de nous rejoindre pour nous aider à remettre en place les ateliers hebdomadaires que nous proposons depuis 3 ans. Pour poursuivre l’aventure, nous avons absolument besoin que des personnes s’impliquent dans l’association...

Les Rencontres Raisons Sensibles, dont la 1ère édition se tient à Toulouse du 1er au 12 juin 2022, proposent de mettre en dialogue les #arts avec les #théories critiques radicales et les #transformations sociales émancipatrices

La Bibliothèque Anarcha-Féministe de Toulouse vous invite à lire ensemble (à voix haute, mais sans obligation de lire et selon le confort de chacun·e) "Masculinités. Enjeux sociaux de l’hégémonie", une traduction commentée d’articles de l’Australienne Raewyn Connell par Meoïn Hagège et Arthur Vuattoux. Connell fait partie des personnes ayant conceptualisé la masculinité hégémonique.

Après plus d’un an et demi d’incarcération, dont 9 mois à l’isolement pour le simple fait d’être une femme trans, Jennifer est enfin sortie de prison, à la toute fin de l’année 2021.

Parution d’un guide autonome sur la contraception thermique. Un petit livre auto-produit et non-commercial à propos de la contraception testiculaire thermique est sorti mi-décembre.

L’arpentage est une technique d’éducation populaire consistant à partager un livre entre les participant·e·s, puis mettre en commun ce qu’on y a appris et en discuter. Lors de l’arpentage d’octobre, le besoin de ressources concernant la réalité du système de l’inceste avait été soulevé. C’est pourquoi pour l’arpentage de janvier, nous choisirons entre les ouvrages d’anthropologie "Le Berceau des dominations" de D. Dussy et "La loi des pères" de P. Jean.

Samedi 11 décembre à 14h, on vous propose d’arpenter "Qu’est-ce que l’intersectionnalité ? Dominations plurielles : sexe, classe et race"

Dans les cercles anarchistes de France, les discussions autour d’expériences "trans et queer en prison" se multiplient ces dernières années. Ces démarches ont fait germé chez moi un certain regard critique. J’essaye depuis un moment d’affiner cette critique pour qu’elle soit entendable. La critique que je fais ici de ce genre de discussion se veut bienveillante.

Jennifer est une femme trans incarcérée à la maison d’arrêt de Seysses depuis le mois de juin 2020. Jusqu’à présent, en tant que collectif de soutien, nous avions fait le choix de communiquer uniquement sur ses conditions de détention. Son procès a eu lieu au Tribunal de grande instance de Toulouse le 10 juin 2021, et aujourd’hui, nous souhaitons rendre public notre positionnement sur le fond de l’affaire et son traitement juridique.

Nous vivons dans une société où la consommation de produits altérant notre comportement est la norme : de l’alcool au cannabis, du café à l’héroïne, de la MDMA au LSD. Cette normalité repose sur un ensemble d’attitudes, de représentations et de pratiques sociales, c’est la culture de l’intoxication ou culture de la défonce. Cette culture est le produit de l’action d’individu.e.s, d’entreprises et de l’État. Elle varie donc selon les territoires, les classe sociales, le genre et autres. La culture de l’intoxication est composée de multiples cultures de l’intoxication.