Dans la nuit du 28 au 29 août, nous avons attaqué à coups de marteau et de peinture la permanence du parlementaire Christophe Borgel, la banque populaire de Jolimont et le pôle emploi de Purpan.
Manuel Valls et ses allié.e.s ne sont pas les bienvenu.e.s ni à Nantes ni à Colomiers.
Contre la loi, le travail et l’état d’urgence, devenons un mouvement de masses.
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