Je suis 1 74 09 99 192.168.0.1. Je risque 5 ans de prison et 40 000 euros d’amende parce que je suis lecteur et solidaire de la presse libre…
Je suis 1 74 09 99 192.168.0.1.Parce que ce sont des traces numériques que le grand filet de la surveillance a relevées, des traces d’appareils électroniques.
Je suis 1 74 09 99 192.168.0.1.Parce que je suis un parmi d’autre, des femmes et des hommes, qui ont plus à craindre qu’à espérer de l’action de l’Etat.
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Tout ça pour ça ! bref compte rendu du procès de 1 74 09 99 etc.
L’affaire a fait un peu de bruit, une personne était accusée d’être le directeur de publication du site d’information collaboratif iaata.info et risquait 5 ans de prison et 45 000 euros d’amende du fait d’un texte séditieux considéré comme un « appel à la provocation de crime et délit ». Après deux mois d’enquête, 10 heures de garde à vue, 9 semaines d’attente anxieuse d’un procès, l’affaire fait pshitt, le procureur « abdique » tout simplement. Circulez y a rien a voir. Dénouement heureux certes mais des questions demeurent.
Arrête ton char, lis et écoute les médias libres
Le 29 juin 2015, à 14h, au palais de justice de Toulouse, une personne passe en procès.
Identifiée 1 74 09 99 etc, elle a été arrêtée le 6 mai, à 6h30 du matin, a subi 10h de garde-à-vue. Elle est accusée de « provocation publique à la commission d’un délit ou d’un crime ». Elle encourt cinq ans d’emprisonnement et 40 000 € d’amende.
REPRESSION DES MEDIAS LIBRES / TOUCHE D’ESPOIR ET SOUTIEN A IAATA
Le 29 juin 2015, à 14h, au palais de justice de Toulouse, une personne passe en procès.
Identifiée 1 74 09 99 etc, elle a été arrêtée le 6 mai, à 6h30 du matin, a subi 10h de garde-à-vue.
Elle est accusée de « provocation publique à la commission d’un délit ou d’un crime ».
Elle encourt cinq ans d’emprisonnement et 40 000 € d’amende.
Analyse.
Iaata, sans direction : abandon des poursuites contre 107409...
Ce midi, la personne suspectée d’être "directrice de publication" de Iaata.info n’a même pas eu le temps de passer en procès... le procureur a tout simplement abandonné les poursuites... Nous ne saurons donc pas le fin mot de l’histoire, ni pourquoi elle a été arrêté, ni pourquoi elle a passé tant de temps en GAV, ni pourquoi un procès a été intenté...
Le retour du bâillon
Une personne proche du site Iaata.info passe en procès fin juin. Communiqué rédigé et signé par divers journaux, revues et sites d’information indépendants (liste en fin de texte), dont Paris-luttes. Il est publié conjointement sur plusieurs sites et plateformes
Nous, utilsatrices et utilisateurs de Iaata...
Sur l’interface interne du site Iaata.info, nous, utilisatrices et utilisateurs de Iaata, proposons à tous les contributeurs et toutes les contributrices de ce site de venir débattre et discuter un texte que nous voulons enrichir collectivement. Ce texte explique pourquoi nous sommes solidaires de la personne inculpée, qualifiée de "directrice de publication" de Iaata, et pourquoi nous continuerons à faire vivre cet espace.
Censure et répression à Toulouse, Iaata.info sur le grill
Comme beaucoup nous avons appris par la presse que le site d’information que nous animons est poursuivi en justice.
Nous avons fouillé notre boîte aux lettres électronique et n’avons pourtant rien trouvé. Il aura fallu demander autour de nous pour apprendre qu’il s’agissait d’une personne militante à Toulouse, devenue, par la magie de l’enquête policière, notre « directeur de publication ». Faisons le point.
Face à la répression, l’information est une arme : soutien à IAATA.info
Soupçonné d’être responsable de la publication d’un article sur IAATA.info, site collaboratif et anti-autoritaire toulousain, une personne est poursuivie par la justice. Parce qu’informer face à la répression policière est légitime et nécessaire, communiqué de soutien dénonçant la criminalisation et l’intimidation des médias libres.
[audio] Revivez le rassemblement en soutien aux médias libres #29.06.2015
Un procès qui finit en pantalonnade pour le parquet. "Tout ça pour ça" c’était le mot qui passait sur toutes les lèvres devant le palais de justice lundi 29 à l’annonce de l’arrêt des poursuites. Toujours est-il que ça aura été l’occasion de parler des luttes en cours et de donner la parole à beaucoup de gens.