Le confinement nous avait forcé à suspendre nos permanences syndicales, mais nous reprenons désormais de plus belle. En plus de la permanence mensuelle, un samedi par mois (habituellement le 3ème samedi), de 15h à 18h, nous tenons une permanence hebdomadaire tous les mardi de 19h à 21h, au vu de la crise sanitaire et sociale actuelle. Les gestes barrières sont évidemment de mises lors de ces permanences.
Précarité
Il n’y a pas qu’à Toulouse qu’on manifestait lundi 11 mai : notre tour de France
De Rouen à Saint-Brieuc et d’Amiens à Marseille, une multitude de rassemblements ont marqué la première journée du « déconfinement ». Les plus importants se sont tenus devant les hôpitaux, en soutien aux soignant·es, parfois eux-mêmes en grève. Leur mobilisation exemplaire contre le Covid-19 autant que le mépris jamais démenti des gouvernements à leur égard préfigurent le rôle prépondérant des personnels médicaux dans les mouvements sociaux qui éclateront tôt ou tard.
Sortie du livre « Te plains pas, c’est pas l’usine - L’exploitation en milieu associatif »
Sorti la veille du grand confinement, le livre est véritablement disponible à partir du 11 mai, en librairie et dans les lieux militants.
Nous n’avons que nous-mêmes : appel d’un coursier de Manhattan.
Pour une solidarité de condition et de position.
Bien que faisant référence à un contexte très particulier, celui de la ville de New York aux États-Unis, nous pensons qu’il est important de proposer ici cet article de crimethinc. Entre critiques de ses conditions de travail précaires et analyses du mépris et des violences de classe auxquels il est régulièrement confronté, ce coursier nous donne un témoignage en direct de la ligne de front. Comme beaucoup d’autres, il fait partie de ces personnes dont le métier est considéré par nos gouvernements comme « indispensable » en ces temps de pandémie.
Pour un 1 er mai revendicatif : Tou-te-s dans la rue le 1 er mai, confinement ou pas !
Salut à vous, ami-es, camarades,
nous sommes quelques-un-es à en avoir marre d’être confiné-es, marre des discours dominants qui cachent encore et encore la violence du système, marre d’être impuissant-es face à une dépossession aggravée de nos vies.
Alors : qu’est-ce qu’on fait le 1er mai ?
À Gap,on sera dans la rue. On espère nombreux-ses, mais qu’importe.
Nous sommes toustes très anxieux.euses
six thèses sur l’anxiété et pourquoi elle entrave concrètement le militantisme, ainsi qu’une stratégie possible pour la surmonter.
Le confinement n’éteindra pas notre lutte ! Pour la poursuite de la rétention des notes
Nous voulons vivre pas survivre. Nous défendons nos conditions de vie et de travail.
Aujourd’hui et jusqu’à nouvel ordre, l’université Toulouse II le Mirail est fermée au public comme à son personnel suite à l’épidémie de covid-19. Cette situation est exceptionnelle et l’issue incertaine. Combien de temps durera le confinement ? Quelles conséquences aura-t-il sur les personnel.les, les étudiant.es, les institutions ? Quels seront les arbitrages budgétaires décidés à courte échéance pour financer les dizaines de milliards d’euros versées aux entreprises ? Beaucoup d’enjeux se nouent et se noueront autour de cette crise. La question du travail, celle de son utilité et de ses formes en fait partie. Aujourd’hui nous prenons de plein fouet l’effet concret de la destruction des services publics.
Communiqué du collectif des non titulaires de l’UFR Histoire, Histoire de l’art et Archéologie, Toulouse 2 Jean Jaurès, le 27 mars 2020
Communiqué de chargé.es de cours de l’ESR au sujet des conditions de paiement et de traitement des dossiers.
Covid-19 : la précarité sacrifiée
Le Collectif des Précaires du Mirail a cessé ses activités de face-à-face mais continue son travail militant, à distance,notamment celui de rendre visible la précarité. Le confinement agit comme un voile sur les esprits... alors que la société repose de tout son poids, encore plus qu’à l’accoutumée, sur les précaires.
Tribune prononcée lors de l’invasion des voeux de moudenc le 16 janvier
Avec un peu de retard, voici le contenu de ce qui a été dit par une militante à la tribune lors des voeux de Moudenc au palais des sports.
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