Deux fois par mois, l’Actu des Oublié.e.s s’intéresse aux luttes à travers le monde. Cette semaine, nous évoquons l’actualité ukrainienne par le prisme féministe et anarchiste.

Dans le cadre de la Campagne Antiracisme et Solidarité, aura lieu le 12 mars 2022 un atelier "Reconnaître et Affronter l’Antisémitisme" de 13h30 à 18h30.
Lieu communiqué sur inscription : lutte-antisemitisme-toulouse@riseup.net

Après le week-end du 12 -13 février où nous avons été nombreux-ses rassemblé.e.s autour d’un concert et d’un tournoi de foot qui nous ont rempli.e.s de joie et d’énergie, continuons à porter la dynamique de la Campagne anti-racisme et solidarité !

En mars, les permanences du Placard Brûle continuent tous les mardis entre 15h et 19h, comme d’hab, avec des brochures, des revues, des affiches et des livres, quelques canaps’ où zoner, un peu de thé et à grignoter, n’hésites pas à ramener des trucs à partager si envie.

Second ensemble d’entretiens et d’analyses produit par le collectif étasunien Crimethinc. sur le soulèvement au Kazakhstan et sa répression, début janvier. Nous avions déjà traduit un précédent article sur le sujet et d’autres sont à venir concernant la situation actuelle en Ukraine. Plus de ressources, et notamment des liens pour approfondir ici

Rassemblement unitaire contre les idées d’extrême droite.
Le Gers est historiquement une terre d’accueil.
Nous ne pouvons laisser des idéologies néfastes proliférer.
Pas de fachos dans nos campagnes, pas de campagne pour les fachos.
Resistancia ! Lo Gers es tèrra d’emigracion. Gardarem la diversitat !
https://www.facebook.com/events/5468823159814597
Programme samedi 26 février :
11h : Rendez-vous place de Libération
12h30 : Plat de Résistance Monumentale (pic-nic sur les escaliers monumentaux)

Chaque semaine, l’Actu des Oublié.e.s explore les luttes à l’internationale. Pour ce dixième épisode, cap sur l’Afrique de l’Ouest.

Le Comité Vérité et Justice 31 appelle à un rassemblement samedi 5 février à 14h place Arnaud Bernard, Toulouse.

Le 6 février 2014, une quinzaine de personnes ont perdu la vie, tuées par la Guardia Civil, en traversant la frontière marocaine pour rejoindre l’enclave espagnole de Ceuta. Malgré des années de procédures et de lutte acharnée de la part des familles pour faire reconnaître le crime, aucune justice n’a été rendue et les policiers incriminés ont été relaxés.