Voici le programme des discussions de Février. Tout se passera à l’Impasse, le squat d’activités ouvert en novembre dans lequel on a installé le Placard BRÛLE (parce que juste le « placard » franchement ça
donne pas envie alors oublie pas le brûle stp !) 😉.

Après-midi ayant pour thème la sexualité et le handicap.

Lecture collective du texte "Notre sobriété est révolutionnaire" suivi d’une discussion autour de certains points évoqués dans le texte.

Histoire de dix ans du naufrage réactionnaire d’un mouvement se prétendant « libertaire », à travers ses acteur·ices et ses publications.

La suprématie blanche est un système de déni.
Jusqu’à la dernière seconde elle refusera de voir la vérité.
Quelques notes sur la dépravation morale de l’Occident.

Un trio d’affiches contre les JO et le monde qui va avec. A diffuser et à coller à volonté !

Le 20 octobre, des organisateur·ices d’un évènement du ’Tour de France pour la Santé’ regroupant 40 d’organisations de "défense de la santé publique" ont menacé d’envoyer la police sur des membres de l’Association pour la Réduction des Risques Aéroportés (ARRA). Celleux-ci avaient commis l’affront de leur proposer la mise à disposition gratuite de purificateurs d’air et de masques FFP2 pour réduire les risques d’infections au COVID-19. Voici le communiqué de l’association.

Rencontre autour du livre "Infirme, j’affirme" de Med’H

Nous, militant·es et sympathisant·es démisionnaires du Groupe Local (GL) Toulouse et alentours de l’Union Communiste Libertaire (UCL) avons choisi de quitter cette organisation et de continuer à militer ensemble.
Des comportements et des pratiques renforçant les dominations (racisme, transmysogynie, transphobie, biphobie, sexisme, putophobie, validisme notamment) ont été pointés à plusieurs reprises dans l’UCL sans que ça ne soit pris en compte. Comme souvent, la réponse a été la silenciation et des accusations de diviser la lutte anticapitaliste.

À l’occasion de la Journée de la Sécurité et de la Santé au Travail, faisons un point sur la situation sanitaire actuelle du pays : contrairement à ce qu’on prétend, la pandémie de COVID-19 n’est pas terminée. Le virus circule toujours activement, nous met toustes en danger et isole les personnes les plus fragiles de nos communautés. Puisque le gouvernement ne prend pas la situation au sérieux, nous, militant-e-s de la Pride des Banlieues, encourageons l’autodéfense sanitaire !