36 rue Roquelaine, à Jeanne d’Arc, on s’organise pour lutter efficacement contre la loi travail !

LycéenNEs et étudiantEs ont uni leurs forces pour débrayer facs et lycées et marcher jusqu’au centre-ville.

Le 9 mars à Alès des lycéens de l’énorme bahut JBD ont tenté de bloquer leur établissement puis sont partis en manif’ en ville. L’après-midi une manifestation a réuni plus de 700 personnes.
Avec ou sans-papiers, travailleurs, lycéens, étudiants, chômeurs, retraités..., nous pouvons nous organiser ensemble et choisir nos moyens de lutte. Débrayages, grèves, blocages, sabotages, caisses de solidarité, récupération et mise en commun de bouffe, crèches collectives... sont autant d’outils que nous pouvons construire dans des assemblées de lutte ouvertes à toutes et tous.
Afin de discuter et d’échanger des infos sur l’évolution du mouvement, nous proposons de nous retrouver à la Rétive (42, rue du faubourg d’Auvergne, Alès) :
> lundi 21 mars (dès 19h)
> lundi 28 mars (dès 19h)

Discussions préparatoires en vue de la création d’une assemblée de lutte à Toulouse contre la loi Travail

Le lundi 14 mars de 18h à 20h, assemblée-débat des Minimes contre la loi travail à la coopérative Vent Debout, 33 rue Antoine Puget

Pour une lutte de quartier contre la loi Travail !
Les Minimes - travailleurEs, salarieEs, ChomeurEs, Precaires, retraiteEs, LyceeNEs, EtudiantEs - contre la loi El-Khomri !

La réponse à la mobilisation nationale s’organise : des bus partent à Notre Dame des Landes depuis l’Ariège et Toulouse pour rejoindre le blocage prévu là-bas le 27 février.
Pour les actions toulousaines et régionales, on s’organisera tou.te.s ensemble mardi 23, au CASC (10bis rue du Colonel Driant 31400 Toulouse) pour préparer des initiatives plus locales (banderoles, affichages et/ou autres). Pour les personnes intéressées, n’hésitez pas à venir avec carton, feutres, draps et/ou idées (...)

Appel pour une assemblée à Toulouse
Samedi 30 à 16h30 à la chapelle.

Après les "17h de radio contre les violences d’Etat" du 17 octobre 2015, le Front du Lundi a décidé de remettre le couvert. Mais comme nous avions regretté d’avoir manqué de temps pour élaborer collectivement du contenu, alors on prend les devants.

Face à la multiplication des (projets de) fermes usines, la résistance se multiplie.