Une après midi (14-20h, à l’OBS) pour réfléchir aux dynamiques d’exclusion et à la justice punitive dans les milieux transpédégouine/queer.

Yeux crevés, mains arrachées, journalistes matraqués : c’est le bilan, en à peine deux ans, d’un président élu pour « faire barrage à l’extrême droite ». Et quand le pouvoir ne cogne pas, il ment. Il ment par la voix de son ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner.

Solidarité avec les antifascistes inculpés et incarcérés suite à une plainte de l’extrême droite parisienne (Zouaves / Milice / Génération Identitaire).

Appel ouvert aux copaines de tous horizons à venir festoyer la fin de l’astreinte…
Le jeudi 25 avril lors d’une soirée concert en soutien aux copaines victimes de la répression.
Début des festivités en début de soirée. n’hésitez pas à passer plus tôt dans la journée pour se rencontrer, aider aux préparatifs… Cet événement serait aussi un bon moment pour se rassembler et préparer le printemps, ensemble.
On va faire un petit atelier pochoir, alors si tu veux, ramènes une fringue (clair (...)

Depuis le 4 mars 2017, l’observatoire des pratiques policières de Toulouse écume les manifestations scrutant les faits et gestes des forces de l’ordre. Après 50 sorties, 4600 photos, 50 heures de vidéo, ils livrent aujourd’hui un rapport édifiant sur l’état du maintien de l’ordre dans la capitale de la région Occitanie.

Boire un coup en terrasse un 13 avril dans la capitale du zbeul.

Les habitants.tes du 25 rue des artistes, aux 7 Deniers, à Toulouse ont toujours besoin de soutien pour tenir la permanence du PINKY, le piquet ANTI-LINKY en bas d’immeuble !

Le 24 mars, on s’est rendu.e.s devant la maison d’arrêt de Seysses, en fin d’après-midi, pour faire un salut à tou.te.s les prisonniers et les prisonnières. Nous qui racontons, nous faisions partie d’un petit groupe de gens. On n’a pas rejoint l’endroit où il y avait le plus de gens, du coup on ne parlera que de ce qu’on a vécu.

Des mois après le début du "mouvement des Gilets-jaunes", la rage rencontrée dans la rue ainsi que les différentes pratiques qui s’y sont développés (destruction de structures capitalistes ou étatiques, affrontements avec la police, pillages, vague de sabotage diffus, divers tentatives de blocage des autoroutes ou des rond-point etc.) côtoient des traits politiques plus problématiques (drapeaux français, marseillaise chantée en cœur, discours travailliste et citoyenniste, sexisme, racisme etc.)

Un Photoreportage sur l’Obéissance Armée