Réflexions sur les luttes urbaines

Une série de texte et une introduction pour penser la question des luttes dans la ville, contre l’aménagement et pour une vie libérée de l’emprise des dominations et de l’exploitation.

Il faut en finir avec l’idée que certaines questions sociales pourraient être réglées par l’aménagement de l’espace. Et il en est de même pour les questions dites « écologiques ». L’urbanisme est une forme de totalisation dans un monde où les sciences séparent, partialisent… La ville est conçue comme un « organisme » et l’urbanisme, comme pratique sociale, est l’expression d’une vision totale.

L’urbanisme comme idéologie formule tous les problèmes de la société en question d’espace et transpose en termes spatiaux tout ce qui vient de l’histoire, de la conscience. (…) Médecin de l’espace, il aurait la capacité de concevoir un espace social harmonieux, normal et normalisant. [1]

De l’élargissement des avenues pour laisser passer l’air et les troupes du baron Hausmann à la ville durable de la charte d’Aalborg, en passant par le fonctionnalisme de la charte d’Athènes, la science de l’aménagement des villes n’a servi qu’à asservir l’humain à la production et la reproduction. En transformant les questions sociales en « problème », les politiques de l’aménagement cherchent à faire passer une logique par la force d’une rationalité scientiste. Cette rationalité a la force de « l’intelligence analytique » qui, ayant le « prestige de la synthèse », occulte les stratégies. « Ainsi disparaissent les médiations entre l’ensemble idéologique donné pour rationnel (techniquement ou économiquement) et les mesures détaillées, objets de tactiques et de prévision. » [2] Ainsi les dispositifs de participation ne sont pas juste une tarte à la crème, un mensonge, c’est une machine de guerre pour faire accepter les règles du jeu à une partie suffisamment importante de la population. Il est possible d’y lire au moins deux objectifs :

  • mobilisation des habitant.e.s et renforcement d’un bloc réactionnaire. C’est par la prise en compte d’intérêts particuliers, compatibles avec les intérêts dominants et le statu quo, que se composent des coalitions locales propres à imposer un ordre spatial renforçant l’exploitation et les dominations. Ces attelages peuvent être fondés sur des tromperies entrainant une partie des habitant.e.s, des commerçant.e.s dans des projets dont ilelles sont exclu.e.s par la suite (par l’augmentation des loyers, l’installation de grandes enseignes, etc…)
  • accaparement de l’espace public local empêchant une véritable émergence de ce qui nous attaque, de ce qui nous empêche de vivre, là où nous vivons, là où nous travaillons. Déjà, en séparant la question de l’habitat et du travail comme si l’un et l’autre ne se conditionnaient pas mutuellement. L’aménagement disperse et désarme les personnes en tentant d’empêcher tout ce qui peut participer à la constitution de forces sociales capables de porter une véritable transformation de l’existant.
    Ce n’est pas un hasard si l’urbanisme a fait de l’aménagement des rues, des places et l’organisation des déplacements le cœur de son intervention. Ce qu’il est aujourd’hui convenu d’appeler l’espace public devient la cible d’une intense activité dont le but est la normalisation des comportements. « L’objectif : transformer ce qui existe —l’enchevêtrement autonome d’événements que constitue la sociabilité urbaine— en ce qui devrait exister. Il s’agit de matérialiser dans l’espace les idéaux officiels en ce qui concerne la ville, à savoir les valeurs abstraites de l’urbanité comme manière correcte d’occuper et d’employer la ville ; autrement dit, de passer de citadin à civilisé. » [3] C’est un dispositif de pouvoir qui, dans ce double mouvement de renforcement d’un centre et de dispersion d’une périphérie, travaille efficacement dans une perspective : transformer (ou maintenir) l’espace en machine à produire du profit. C’est un travail réaliste (puisqu’il s’inscrit dans une réalité cruelle que nous ne pouvons que constater chaque jour), effectif puisqu’il a des effets concret, mais qui se pose dans le « cadre d’une chimère : le rêve impossible d’une classe moyenne universelle et sûre d’elle-même, aspirant à vivre dans un monde fait de consensus négociés et d’échanges communicationnels purs entre des êtres éclairés, en accord et responsables, un monde sans convulsions ni incidents, dans lequel on pourrait faire comme si l’injustice et l’inégalité, devenues d’un coup invisibles n’existaient pas. » Et bien sûr c’est le contraire qui se passe, les inégalités et les injustices s’accentuent. Dans l’époque actuelle où l’aménagement, à la ville comme à la campagne, sert à l’intensification de l’extraction de plus-value. De la multiplication des projets miniers aux dynamiques de métropolisation en passant par des grands projets d’équipement, l’analyse en profondeur de comment l’aménagement du territoire est mis au travail serait trop long pour cette simple introduction. Il suffit de jeter un coup d’œil du côté des grands projets d’infrastructure (feu Notre Dames des Landes, TAV dans la vallée italienne de Suse) mais aussi le « grand Paris » ou la multitude des événements internationaux des « capitales européennes » (de la science, du sport, de la culture) aux rencontres sportives telles que les jeux olympiques.

C’est la dialectique travail/consommation qui caractérise les villes en même temps comme entreprises, marchés et usines globaux. Ainsi, l’espace urbain a cessé d’être un lieu public pour la discussion, l’autogouvernement, le jeu ou la fête, et sa reconstruction se conforme aux choix les plus spectaculaires et les plus en faveur du développement. La critique du développement est alors une critique de l’urbanisme ; la résistance à l’urbanisation est une défense par excellence du territoire. La défense du territoire, qui se situe, après la disparition de l’agriculture traditionnelle, au cœur de la question sociale, est un combat contre sa transformation en marchandise, c’est-à-dire contre la constitution d’un marché du territoire. Le territoire est maintenant un facteur de développement fondamental, source inépuisable de sol pour la construction, promesse de gigantesques infrastructures, lieu pour l’installation de centrales de production d’énergie ou de gestion des déchets, espace idéal pour le tourisme et l’industrie de l’oisiveté… C’est une mine sans fond d’impôts et de postes de travail précaires, ce qu’il faut pour mettre d’accord les autorités régionales, les forces vives municipales et les écologistes néo-ruraux, pour lesquels la question du territoire est surtout un problème fiscal et de bassin d’emploi. La logique de la marchandise fragmente et colonise le territoire à partir des conurbations, en composant avec le tout un seul système métropolitain. Les luttes contre le développement disposent donc dans la défense du territoire d’une digue contre la vague urbanisatrice du capital. Elles tentent de faire reculer les frontières urbaines. Elles sont des luttes pour la récupération du collectivisme agraire et pour la désurbanisation. Mais elles sont aussi des luttes qui cherchent la rencontre et la communication entre les personnes, des luttes pour le rétablissement de la vie publique. [4]

Point de départ et lignes de fuites

Si, dans les années 70, les luttes urbaines ont souvent mis au centre des revendications une meilleur prise en compte des habitant.e.s par les aménageurs, nous ne pouvons plus prendre les vessies gestionnaires pour des lanternes émancipatrices. Nous ne pouvons pas opposer, aux aménageurs, une logique de « bon projet » : concertés, consensuels, inclusifs, bio et équitables. C’est la logique même de l’aménagement, et donc de l’urbanisme qu’il faut combattre. L’aménagement des territoires concrétise, et rend possible, des rapports de pouvoir et d’exploitation, structure des emplois du temps, contraint des circulations, maintient à des places et contraint à des usages. Depuis les années 70 cette activité est massivement investie par les pouvoirs politiques et économiques pour faire notamment des villes des « machines à croissance » [5]. Les différents projets font système dans une logique de production de valeur où la question des représentations, des imaginaires, est importante. « Pour vendre la ville, il est d’abord impératif de lui donner une image séduisante, et les élus municipaux misent parfois sur le développement des spectacles pour attirer les investissements dans d’autres domaines. » Et, « bien souvent, les projets concentrés sur des sites précis monopolisent tellement l’attention qu’ils occultent les problèmes plus prégnants auxquels peuvent être confrontés la région et le territoire dans leur ensemble. » De ce fait, tenter de proposer localement des « contre projets » c’est manquer la logique générale qui nous asservit, voire, au final, la renforcer en lui apportant notre contribution. Ce qui prétendait être la construction d’un contre monde, d’une « alternative » devient argument publicitaire : jardin partagé, éco quartier, fête des voisins, agriculture urbaine, recyclerie, etc. ou pire élément structurant d’une ville « apaisée », « ouverte » permettant « d’occuper » les espaces vacants le temps d’une transition. Comme par exemple à Genève où « tout un milieu associatif s’est formé pour boucher les trous [créés par la spéculation immobilière]. La Cigüe, coopérative de logement pour les personnes en formation accepte des contrats précaires sur des maisons vides. L’association Carrefour-Rue loge des ex-sans-abris dans des containers aménagés sur des terrains considérés comme vides et d’autres associations –artistes, entreprises solidaires ou caritatives, etc— remplissent ce rôle avec docilité et opportunisme. » [6]

Pour autant nous ne pouvons pas faire l’économie de la lutte dans la production de l’espace. Pour qui écrit ces lignes, il n’y a ni sujet révolutionnaire, ni recette pour la lutte, ce qui suit relève d’une tentative de poser quelques éléments qui pourraient servir à alimenter une pratique concrète de lutte dans les villes, dans les territoires. Il s’agit de s’ancrer dans une lutte proprement politique mais en prise avec le quotidien : l’ordre proche des rapports sociaux, qui s’oppose à un ordre lointain qui s’institue au niveau du pouvoir et des puissants et qui projettent ses principes et décisions sur la réalité pratico-sensible. C’est bien la question de l’habiter qui est en jeu, tout à la fois les endroits où nous pouvons nous abriter des vicissitudes du monde et l’ensemble des relations qui font notre vie, y compris le travail ou son absence. L’habiter n’est pas une catégorie poétique, elle est conditionnée par la question des possibilités matérielles de choisir où on vit, comment on vit et combien de temps. C’est parce que le logement est une marchandise que nous sommes absolument contraint.e.s de ne pas choisir là où nous vivons et comment nous vivons, que nous sommes contraint.e.s de toujours nous échiner dans des labeurs inutiles pour tenter de nous maintenir là où nous voulons vivre, comme nous voulons vivre. Le logement marchandise soumet absolument l’habiter. La spéculation qui contraint le logement en entretenant la vacance, en favorisant l’insalubrité, en produisant des habitats déconnectés d’un choix de ce qui importe, de ce qui compte pour des personnes… Tout cela fait de la question du logement un problème central dans la question des luttes urbaines.
Pour autant il ne s’agit que d’un point de départ qui ne peut pas rester embourbé dans la question du « droit au logement ». En restant centré.e sur le logement comme pure nécessité, le risque est de rester dans une conception étriquée de « l’habitat », excluant la multitude des éléments qui font une vie désirable à un endroit précis. Et au final d’être effectivement dans une demande de « droit » qui relèverait d’une puissance publique, étatique ou municipale, qui jouerait les arbitres. C’est, très concrètement, une question sociale qu’il faut pouvoir politiser pour éviter le piège d’une intervention purement réparatrice sur les difficultés de l’accès à des conditions basiques d’existence. Toute existence sociale a besoin de lieu pour exister. Toute activité sociale repose sur une organisation de l’espace. Partir de là, dans une approche matérialiste de l’habiter pour intervenir dans les luttes qui prennent corps dans l’espace, c’est tenter d’éviter les écueils d’une conception romantique des liens qui peuvent avoir lieu sur un territoire, comme d’une conception citoyenniste d’une bonne et juste administration. Dans les deux cas c’est l’évacuation des conflits inhérents aux rapports sociaux engendrés par le capitalisme, le racisme et le patriarcat qui contribuent au final à l’impasse.
La question n’est pas la production de logement social, ou de logements bon marchés, mais bien de tenter de critiquer en acte —par l’occupation, l’autoréduction, l’autodéfense, etc.— la logique marchande qui structure l’accès au foncier. La question du loyer et celle des expulsions, de la présence policière et de la division genrée et raciste de l’espace, ces questions doivent pouvoir alimenter nos critiques, nos discussions, nos alliances dans la dynamique de résistance que nous tentons de mettre en place. Nous pouvons tenter de faire des lutte contre des projets qui prétendent aménager nos vies, les lieux d’une pratique concrète de la solidarité entre toutes les personnes qui se trouvent acculées à ne pas choisir là où elles vivent et comment elles vivent. L’alliance doit se faire avec les expulsé.e.s des logements et des campements, les laissé.e.s pour compte de la distribution spatiale plus qu’avec les cyclistes blancs désireux d’une meilleure qualité de vie. Non pas que cette exigence ne soit pas respectable mais elle n’est profitable à un projet d’émancipation que si elle se pense en lien avec les damné.e.s de la terre et contre les pouvoirs de tous bords.

Des écoles, des égouts, de l’éclairage, des garderies, de l’asphaltage, des autobus, des hôpitaux, etc. semblaient pouvoir être le remède à tous les maux. Et quand ces problèmes quotidiens réels, n’étant pas résolus devenaient politiques, on subordonnait les critiques plus profondes à un changement de régime. Les dirigeants des associations de quartier n’étaient pas étrangers à cette mise en suspens. La question du logement se sépara de la question sociale et chercha des solutions dans le marchandage politique. Par conséquent, la lutte pour l’habitabilité (pour la qualité de vie) ne déboucha pas sur un projet de reconquête de la ville. Cette autolimitation fut fatale au mouvement, qui perdit l’occasion de jouer son rôle historique au moment où les assemblées de quartier étaient nombreuses, et il se convertit à partir de 1976 en simple appendice des conseils municipaux. [7]

 

Pour en finir avec l’urbanisme

Ce premier texte d’introduction est également lisible dans cette brochure accompagné de deux autres textes : L’urbanisme pour dépolitiser de Jean Pierre Garnier et L’urbanisme ça sert à faire la guerre de Fabien Bon.

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La rue sous haute surveillance

Extrait, sans modification, du journal Tic-Tac n°8 de mars 1997. [8]
Tic-Tac est une expérience éditoriale de 9 numéro, dont un audio, entre 1995 et 1997 impliquant une coordination de groupe soucieux de « se mêler de la transformation du monde et de la beauté des choses ». Ce texte raconte comment l’urbanisme est foncièrement du contrôle de population en prenant l’exemple de Paris.

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Lutte des classes et aménagement du territoire. Introduction à la géographie marxiste.

Des textes caviardés de Harvey, Clerval, et Garnier. Extrait de l’intro :
Cette brochure est l’occasion de partager les outils fournis par un courant de la géographie critique qui se fait de nouveau entendre. Nous avons effectué des coupes, les articles sont disponibles dans leur intégralité sur l’Internet. Ces travaux nous invitent à reconsidérer les rapports de classes : illusion de la disparition des classes ouvrières dans les pays « dominants », essor d’une classe ouvrière industrielle dans les pays « dominés » et émergents, apparition d’une nouvelle classe intermédiaire (la petite bourgeoisie intellectuelle), dissimulation des conflits de classes grâce à une approche raciste. Cette recomposition des rapports de classes n’est pas nouvelle, elle est ici mise à jour de façon explicite.

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Le droit à la ville

Le chapitre du livre éponyme de Henri Lefebvre suivi de thèse sur l’urbain, un texte de 1968 qui a fait date. Aujourd’hui, accommodé à toutes les sauces il sert aussi bien les discours des aménageurs que leur critique, les universitaires et les artistes... Cela reste une lecture intéressante et au moins autant revenir à la source. On peut voir comment aujourd’hui cette notion est utilisé dans les luttes avec l’exemple genevois.

PDF - 1.2 Mo

Prenons la ville

Lotta continua est un groupe politique italien né en 1969 à Turin mais avec des groupes dans d’autres ville. Lotta Continua s’est opposée à toute forme d’organisation politique traditionnelle. Le mouvement prônait :
. l’organisation conjointe des luttes urbaines au sein des comités d’usine,
. la création de comités de quartiers,
. la prise en considération de l’ensemble des problèmes d’un quartier, et non plus seulement la seule question relative à l’habitat,
. l’appropriation collective de logements sur des biens privés de sociétés immobilières de grande et moyenne dimension, et non plus seulement des biens publics. Sur le texte publié ici et pour une approche plus fouillée de la démarche de ce groupe sur cette question voir Lotta continua : à propos du programme prenons la ville ! Le texte qui suit est issue d’un document préparatoire à un congrès qui eut lieu à Milan en 1971.

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Urbanisme et ordre

L’urbanisme est l’ensemble des techniques qui ont pour objet la transformation des villes en centres d’accumulation de capital. Il rend possible la possession par le capitalisme de l’espace social, qui se recompose d’après les normes que dicte sa domination.

Un texte de Miguel Amoros écrit aux alentours de 2008

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Retour de l’usine, le territoire, l’architecture, les ouvriers et le capital

Comment penser aujourd’hui sous un même registre les luttes à Notre Dame des Landes, les grèves à Amazon, IKEA, les révoltes urbaines, ou encore les grèves parmi les travailleurs de Uber ? Dans ce texte, Vittorio Aureli propose d’analyser ces mouvements à travers l’histoire longue de la métropole capitaliste, son architecture, et le concept opéraïste de l’usine sociale. Faisant résonner Tronti avec Tafuri, l’auteur trace une généalogie des dispositifs de pouvoir de la ville moderne depuis la Renaissance et la révolte des Ciompi. Il éclaire ainsi combien les résistances à l’emprise du capital engendrent de nouveaux maillages territoriaux et de nouveaux processus disciplinaires, de l’urbanisme florentin post-médiéval à la logistique moderne. [9]

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Notes

[1Henri Lefebvre, Le Droit à la ville (1968), p.41

[2Idem, p.87

[3Manuel Delgado, L’espace public comme idéologie, Les réveilleurs de la nuit (Toulouse : CMDE, 2016), 12. Les citations précédentes sont du mêmes auteurs et tirées du même ouvrage.

[5David Harvey, « Vers la ville entrepreneuriale. Mutation du capitalisme et transformation de la gouvernance urbaine », in Villes contestées : pour une géographie critique de l’urbain, éd. par Cécile Gintrac et Matthieu Giroud (Paris : les Prairies ordinaires, 2014), 95‑131

[7Miguel Amoros, « Urbanisme et ordre », in « où en sommes-nous et autres textes », Typemachine, Gent, 2008. Publié ici en brochure

[8Des extraits sont disponibles sur le site Fragments d’histoire de la gauche radicale. http://archivesautonomies.org/spip.php?article303&lang=fr

[9Texte de Pier Vittorio Aureli initialement paru sur Operaviva
31 décembre 2016. Traduit de l’italien par Valerio Starita. Publié en ligne par la revue Période

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