Suivi de la Grève de la Faim de Libre Flot

Ce Dimanche 27 Février, notre ami Libre Flot a décidé d’entammer une grève de la faim alors qu’il est toujours enfermé et à l’isolement dans la prison de Bois d’Arcy (78). Nous retransmettons un communiqué de sa part, à diffuser largement.

  • Libre Flot est sorti de prison

    C’est avec un ÉNORME soulagement que nous avons appris le transfert de Flo dans un hôpital civil de la région parisienne jeudi 7 avril.

    Lundi 4 avril, alors que des actions de solidarités et des rassemblements avaient lieu un peu partout en France et en Europe suite à un appel international, ses médecins s’inquiétant de ne pouvoir assurer son suivi médical ont demandé son transfert dans un service spécialisé en nutrition. Pour cela il fallait négocier avec la justice pour lui permettre de quitter les services pénitentiaires. Le juge d’instruction qui avait fermement décidé de maintenir Libre Flot à l’isolement et en détention en février a du accepter après négociations avec les avocat.es sa libération pour raisons médicales.

    Pour Libre Flot sa santé étant gravement en jeu il avait décidé de se réalimenter le 4 avril au soir, au 37ème jour de sa grève de la faim, dépité de ne voir rien bouger. Il n’était pas informé des négociations en cours, l’accès au téléphone étant relativement compliqué au sein de l’hôpital pénitentiaire.
    Il nous fallait le voir pour le croire et c’est dans un suspens absolu que ses proches ont attendu son transfert dans un hôpital civil ainsi que la notification de sa libération sous bracelet électronique ce jeudi. Après son hospitalisation pour se rétablir de ces 37 jours sans s’alimenter, sa liberté sera soumise à des conditions strictes : travail, interdiction de circuler librement et de sortir du département, interdiction de communiquer avec certaines mis.es en cause, pointage et surveillance continue de sa position avec le bracelet électronique. Cela n’est donc pas équivalent à une véritable libération, et cette période sera comptabilisée dans la durée de « sa peine » déjà accomplie en plus des 16 mois à l’isolement…

    Nous croyons que c’est l’ensemble de nos actions et de nos déterminations conjointes avec celle de Flo qui nous permettent de aujourd’hui de relever la tête et de crier enfin une première Victoire ! Le combat est en revanche loin d’être terminé, puisque l’instruction est toujours en cours, que tout.es les accusé.es sont toujours contraint.es à des contrôles judiciaires plutôt strictes et que les accusations de terrorisme pèsent encore sur elleux. Nous n’avons toujours aucune idée de quand aura lieu le procès.

    Les combats contre la prison et les quartiers d’isolement sont encore longs mais ne sont pas vains, continuons d’exprimer notre solidarité avec tous.tes les enfermé.es, les prisonniers et prisonnières. Un énorme Big up à l’Envolée, pour votre force et votre soutien !

  • Contestation collective des amendes du 16 mars

    Le 16 mars a eu lieu une tentative de se rassembler pour exprimer notre solidarité avec Libre Flot.
    Tentative qui s’est fait réprimer, notamment à travers la nasse et le contrôle des personnes présentes aux alentours du métro Jeanne d’Arc. Des amendes pour "participation à une manifestation interdite sur la voie publique" ont été adressées à certaines personnes et nous proposons de rédiger collectivement un courrier de contestation de ces amendes.
    RDV pour cela au local Camarade, au 54 boulevard Déodat de Séverac à 18h vendredi 8 avril.

    Pour les gens qui ne pourraient pas venir, nous mettrons à jour cet article avec une proposition de lettre type pour contester.

    A vendredi !

  • 4 avril : Journée internationale de soutien à Libre Flot

    Le 4 avril sera une journée internationale de soutien à Libre Flot. A Toulouse, nous nous rassembleront devant le Palais de Justice à partir de 18h.

    Petite avancée dans le combat que mène Libre Flot pour sa libération : après un mois de grève de la faim, son régime d’isolement a enfin été levé par l’administration pénitentiaire. Cela ne mettra pas fin à sa grève puisque son unique revendication est bel et bien la fin de son incarcération. Son état de santé devient critique : il a perdu 16 kilos et est désormais sous perfusion. Bien que sa capacité d’analyse soit toujours vive, son expression est, elle, considérablement ralentie.

    Le 4 avril, ses soutiens se rassembleront dans plusieurs pays, à la suite de cet appel international lancé ici et que nous reproduisons ci-dessous. A Toulouse, le rassemblement aura lieu à 18h devant le Palais de Justice. Nous y viendrons nombreuses et nombreux pour exiger la libération de Flot et la fin de son calvaire.

    Pour Libre Flot,
    Contre toutes les taules !

    Communiqué des soutien internationaux de Libre Flot

    Le 8 décembre 2020 un groupe de 7 personnes a été arrêté en France pour participation à une association de malfaiteurs en vue de commettre des actes terroristes.
    La majorité de ces personnes a été relâchée sans plus de charge qu’une instruction en cours pour “association de malfaiteurs”, une charge utilisée pour aggraver les sanctions et outre passer les droits humains.

    L’un d’eux, Libre Flot, a été incarcéré de manière préventive, et placé en isolement.

    Il est à ce jour la dernière personne à être encore incarcérée.

    À travers cette affaire l’Etat français essaye de faire passer l’engagement de Flot dans la lutte libertaire contre l’état islamique pour un engagement comparable à celui des personnes qui rejoignent Daesh en Syrie.
    Le 27 février dernier, face au rejet de sa demande de mise en liberté, Libre Flot a commencé une grève de la faim pour protester contre sa détention provisoire dans l’attente d’un procès qui n’arrive pas ; pour dénoncer cette association reprochée qui n’est autre que pure fabulation puisqu’elle est supposée exister entre des personnes qui ne se connaissent même pas ; ainsi que pour dénoncer la répression de l’Etat français envers les personnes qui ont combattu l’état islamique, traitées comme si elles avaient combattu aux côtés de Daesch !

    Le 24 mars dernier, Libre Flot a été hospitalisé, après avoir perdu beaucoup de poids, et voyant son état de santé se dégrader.

    Le 4 avril 2022, ça fera bien plus d’un mois qu’il aura entamé cette grève de la faim.
    Le 4 avril 2022, c’est aussi son anniversaire. C’est pourquoi nous avons choisi cette date pour appeler à une journée d’actions de solidarité !
    On appelle tou.te camarade et même toute personne ayant un sens de la justice, à se mobiliser le 4 avril 2022 en se rassemblant devant les ambassades françaises, consulats ou institutions, ou en trouvant n’importe quel moyen de faire entendre notre objection à cette injustice flagrante et inhumaine.

  • Rassemblement à Albi mercredi 30 mars

    En plus du rassemblement prévu à Toulouse (voir mise à jour précédente), un rassemblement aura lieu à Albi à 17h devant le Palais de Justice. Le tract d’appel et un retour sur le précédent rassemblement sont à retrouver ici

  • Nouvelles et prochain rassemblement mercredi 30

    Depuis bientôt un mois Libre Flot est en grève de la faim, voici les dernières nouvelles accompagnées d’un appel à rassemblement.

    Flo à été transféré à L’Etablissement Public de Santé National de Fresne vendredi après-midi.
    Il est surveillé médicalement 24h/24h car sont rythme cardiaque est faible bien que ses résultats biologiques soient bons. Les soins nécessaires sont prodigués avec son accord et les parloirs sont maintenus trois fois par semaine.

    Un rassemblement s’est tenue mercredi dernier à St Cyprien lors duquel on a pu se rassembler, differ des tracts, discuter avec les gent.es et tenir une banderole et scandant des slogans.

    En soutien à Flo et afin d’exiger sa libération, nous appelons à un nouveau rassemblement mercredi prochain à 18h, cette fois ci à saint Michel.

    Tant qu’il ne sera pas libre, nous continuerons à nous mobiliser.

  • Banderoles solidaires

    Le 25 mars, alors que Libre Flot vient d’être hospitalisé après 25 jours de grève de la faim, plusieurs banderoles ont été posées en solidarité sur des ponts du périphérique.

    Liberté pour Flo ! Contre toutes les prisons.

  • 25eme jour de Grêve de la Faim : LIBRE FLOT EST HOSPITALISÉ

    Si son moral tient bon, il constatait que ses forces s’amenuisaient considérablement ces derniers jours. Difficulté à se tenir debout longtemps, à se déplacer... Libre Flot attendait cette hospitalisation pour pouvoir, le temps qu’il faut, sortir du quartier d’isolement et avoir accès directement à des médecins et des soins si nécessaire.
    Samedi dernier, pour un simple avis medical, son transfert vers l’hopital a pris 9h, entouré de flics lourdement armés.
    Libre Flot exige toujours sa libération, ce qui lui est refusé malgré les demandes quotidiennes de mises en liberté qu’il dépose.
    Multiplions les actions de soutien, partout !

  • Transcription du message de Libre Flot diffusé lors de la manifestation contre le racisme et les violences d’État

    « Bonjour à toutes et à tous,
    Je voudrais simplement et sincèrement saluer et remercier l’ensemble des collectifs qui organisent cette marche contre le racisme et les violences d’État de nous offrir, à moi et à mes proches, cet espace de parole pour faire connaître ma situation, mais aussi leur témoigner mon profond respect pour leurs engagements, leurs combats. Ce sont des luttes dont je ne peux qu’imaginer la pénibilité, des luttes longues et éprouvantes. Je n’y ai que trop peu participé, mais j’ai lu et écouté nombre d’interventions des participant.es, généralement des membres des familles des victimes. J’ai toujours été impressionné par la force et la détermination qui se dégageaient d’elles et eux, par la finesse de leurs analyses et leur exemplarité.

    Ce 19 mars 2022, malgré la blanche torture que l’on me fait subir depuis plus de 15 mois, je n’oublie pas que je suis toujours en vie, que je jouis d’un suivi médical et de tout un tas d’autres privilèges que n’avaient pas les personnes dont on honore la mémoire aujourd’hui. Je tiens donc à rendre hommage aux victimes de l’État français, à offrir mon humble et sincère soutien à leurs proches, pour la vérité et la justice.

    Solidarité, salutations et respect,
    Libre Flot »

  • Retour sur le rassemblement de mercredi et prochains rdv

    150 personnes étaient présentes à Toulouse le 9 mars pour montrer leur solidarité avec libre flot, toujours en grève de la faim. Le rassemblement a pu se tenir, nous n’avons pas pu manifester, bloqués par la police, mais notre determination reste intacte.

    On se retrouve au carnaval de Bonnefoy ce dimanche 13 mars à 14h du jardin Michelet, derrière une banderole de solidarité à Flot.

    Et on se donne rendez-vous le mercredi 16 mars à 18H métro Jeanne D’arc.

  • 9 mars : Rassemblement en solidarité avec Libre Flot

    Le 27 fevrier, Flo a commence une greve de la faim pour denoncer ses conditions d’enfermement.
    On propose de se rassembler le mercredi 9 mars a 18h au métro jeanne d’arc afin d’affirmer notre solidarite avec lui.

POURQUOI JE FAIS LA GRÈVE DE LA FAIM

Cela fait plus de 14 mois que je réfute cette infâmante et diffamatoire accusation d’association de malfaiteurs terroriste.

Cela fait plus de 14 mois que la DGSI m’a expliqué que je n’étais pas arrêté pour ce qu’elle voulait me faire croire, à savoir mon engagement auprès des forces kurdes contre Daech au Rojava.

Cela fait plus de 14 mois que rien ne valide la thèse élaborée de toutes pièces par la DGSI alors même que pendant au moins 10 mois j’ai été suivi, tracé, sous écoute 24 heures sur 24 dans mon véhicule, mon lieu de vie, espionné jusque dans mon lit.

Cela fait plus de 14 mois que je comprends que ce sont mes opinions politiques et ma participation aux forces kurdes des YPG dans la lutte contre Daech qu’on essaie de criminaliser.

Cela fait plus de 14 mois qu’on reproche une association de malfaiteurs à 7 personnes qui ne se connaissent pas toutes les unes les autres.

Cela fait plus de 14 mois à répondre aux questions d’un juge d’instruction utilisant les mêmes techniques tortueuses que la DGSI : la manipulation, la décontextualisation, l’omission et l’invention de propos et de faits afin de tenter d’influencer les réponses.

Cela fait plus de 14 mois que je subis les provocations de ce même juge d’instruction qui, alors que je croupis dans les geôles de la République, se permet de me dire que cette affaire lui fait perdre son temps dans la lutte contre le terrorisme. Pire encore, il se permet la plus inacceptable des insultes en se référant aux barbares de l’État islamique comme étant mes« amis de chez Daech ». Bien que verbal, cela reste un acte inouï de violence. C’est inadmissible que ce juge s’octroie le droit de m’injurier au plus haut point, tente de me salir, et crache ainsi sur la mémoire de mes amis et camarades kurdes, arabes, assyrien.ne.s, turkmènes, arménien.ne.s, turc.que.s et internationaux.les tombé.es dans la lutte contre cette organisation. J’en reste encore aujourd’hui scandalisé.

Cela fait plus de 14 mois d’une instruction partiale où contrairement à son rôle le juge d’instruction instruit uniquement à charge et jamais à décharge. Il ne prend pas en considération ce qui sort du scénario préétabli et ne sert qu’à valider une personnalité factice façonnée de A à Z par la DGSI, qui loin de me représenter ne reflète que les fantasmes paranoïaques de cette police politique. Ainsi, je suis sans cesse présenté comme « leader charismatique » alors même que tout mode de fonctionnement non horizontal est contraire à mes valeurs égalitaires.

Cela fait plus de 14 mois que sans jugement on m’impose la détention dite provisoire que je subis dans les plus terribles conditions possibles : le régime d’isolement (voir les lettres de mars 2021 et juin 2021) considéré comme de la « torture blanche » et un traitement inhumain ou dégradant par plusieurs instances des droits humains.

Cela fait plus de 14 mois que je suis enterré vivant dans une solitude infernale et permanente sans avoir personne à qui parler, à juste pouvoir contempler le délabrement de mes capacités intellectuelles et la dégradation de mon état physique et ce, sans avoir accès à un suivi psychologique.

*

Après avoir sous des airs faussement neutres fourni à l’administration pénitentiaire des arguments fallacieux pour s’assurer de mon maintien à l’isolement, le juge d’instruction demande le rejet de ma demande de mise en liberté, tout comme le parquet national antiterroriste. Pour ce faire, ils reprennent presque en copier / coller le rapport de la DGSI du 7 février 2020, base de toute cette affaire dont nous ne savons pas d’où viennent les informations et dont la véracité n’a pas été démontrée. On est en droit de se demander à quoi ont servi les écoutes, les surveillances, les sonorisations et ces deux ans d’enquête judiciaire et d’instruction puisque sont occultés les faits qui démontrent la construction mensongère de la DGSI.

Le parquet national antiterroriste et le juge d’instruction n’ont de cesse d’essayer d’instiller la confusion et de créer l’amalgame avec des terroristes islamistes alors même qu’ils savent pertinemment que j’ai combattu contre l’État islamique, notamment lors de la libération de Raqqa, où avaient été planifiés les attentats du 13 novembre.

Le juge d’instruction prétend craindre que j’informerais des personnes imaginaires de ma situation alors que celle-ci est publique notamment parce que la DGSI ou le PNAT eux-mêmes ont fait fuiter l’information dès le premier jour. Il prétend ainsi empêcher toute pression sur les témoins, les victimes et leurs familles alors même qu’il n’y a ni témoin, ni victime puisqu’il n’y a aucun acte. C’est ubuesque. Est aussi évoquée sa crainte d’une concertation entre coinculpé.es et complices même si toutes et tous les coinculpé.es ont été mis.es en liberté, qu’il n’a plus interrogé personne d’autre que moi depuis octobre 2021, et que j’ai attendu patiemment qu’il ait fini de m’interroger pour déposer cette demande de mise en liberté.

Il aurait pu être comique dans d’autres circonstances de constater l’utilisation à charge de faits anodins comme : jouir de mon droit à circuler librement en France et en Europe, de mon mode de vie, de mes opinions politiques, de mes pratiques sportives, de mes goûts pour le rap engagé ou les musiques kurdes.

Le juge d’instruction s’en prend à ma mère en la désignant comme n’étant pas une garantie valable pour la simple raison qu’elle n’a pas empêché son fils âgé de 33 ans à l’époque de rejoindre les forces kurdes des YPG dans la lutte contre Daech. Encore une fois, c’est ma participation dans ce conflit qu’on criminalise. Il lui reproche également l’utilisation d’applications cryptées (WhatsApp, Signal, Télégram…) comme le font des millions de personnes en France. Enfin, il dénigre tout d’un bloc toutes les autres options de garanties (travail, hébergement…) sans rien avoir à leur reprocher alors même que les personnels du SPIP dont c’est le métier ont rendu un avis favorable.

*

Comment alors comprendre qu’après avoir ordonné ces enquêtes de faisabilité signifiant la possibilité de me remettre en liberté avec bracelet électronique, le juge des libertés et de la détention malgré le rendu refuse ensuite de la mettre en place ? Nous sommes nombreux et nombreuses à constater que dans toute cette affaire la « justice » viole ses propres lois et est soumise à l’agenda politique de la DGSI.

J’ai récemment appris de la bouche même du directeur des détentions de la maison d’arrêt des Yvelines (Bois d’Arcy), que je remercie pour sa franchise, que mon placement et mon maintien à l’isolement étaient décidés depuis le premier jour par des personnes très haut placées et que quoi je dise ou que lui-même dise ou fasse, rien n’y ferait, que cela le dépasse, le dossier ne sera même pas lu et je resterai au quartier d’isolement et que de toute façon rien ne pourrait changer avant les élections présidentielles.

*
  • Puisque l’on cherche à criminaliser les militants et militantes ayant lutté avec les Kurdes contre Daech,
  • Puisque l’on utilise la détention soi-disant provisoire dans le but de punir des opinions politiques,
  • Puisque cette histoire n’existe qu’à des fins de manipulation politique,
  • Puisqu’aujourd’hui on ne me laisse comme perspective que la lente destruction de mon être,

Je me déclare en grève de la faim depuis le dimanche 27 février 2022 à 18 heures, je ne réclame à l’heure actuelle que ma mise en liberté en attendant de démontrer le côté calomnieux de cette honteuse accusation.

Libre Flot.

Parce que notre ami Libre Flot croupit toujours à l’isolement depuis plus de 14 mois et qu’il a choisi d’engager la riposte par une grêve de la faim, ne le laissons pas seul dans ce sale jeux politique. C’est maintenant qu’il est nécessaire de marquer notre soutien, en diffusant sa parole et par tous les moyens possibles !

Nous n’attendrons pas, sans réactions, la fin des élections pour qu’enfin ils le libèrent !

On peut lui écrire via les comités de soutien locaux :

Comité812 Toulouse : Itinéraire Bis – 22 rue Périole – 31500 Toulouse ou PumBat, 34 rue Brouardel, 31200 Toulouse

Comité812 Rennes : CNT 35 , BP 30423, 35004 RENNES Cedex

Comité812 Paris : L.A.P. 393 rue de Vaugirard 75015 PARIS

Pour se tenir informé : https://soutienauxinculpeesdu8decembre.noblogs.org/

Pour joindre ses soutiens et nous tenir informé des initiatives locales : laisseznousdanser[at]riseup[point]net
(clé pgp : https://keys.openpgp.org/search?q=3CC551B54D708A5ADD89C43AF499FA4FF85A247B )

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