Nous sommes plusieurs à Toulouse, à faire le constat du besoin d’un espace ouvert dans la durée, pour se retrouver, échanger et s’organiser sur les questions liées aux guerres et au militarisme. Car souvent la sidération et l’écrasement, face aux horreurs, nous empêche d’agir comme on le souhaiterait. Et l’urgence de la situation nous empêche de prendre du recul.
