Des nouvelles des luttes de l’éducation à Montauban. A lire sur le CAMé.

En 2018, au moins 25 enseignants et personnels administratifs de l’université Toulouse 2 Jean-Jaurès se sont vu privés de leurs accès à certaines salles de l’établissement. A l’époque, on leur avait répondu que leurs badges étaient sûrement victimes d’un bug informatique. On sait aujourd’hui qu’ils faisaient en réalité partie d’une liste de personnes visées par l’administration pour leur participation au mouvement d’opposition à la fusion de l’université et à la loi ORE. Repris de Rapports de Force

Rassemblement à l’appel de plusieurs organisations au métro Jean-Jaurès le 25 novembre à 18h

Le 8 novembre, un étudiant lyonnais de 22 ans s’est immolé devant les bureaux du Crous. Dans la lettre qu’il a publiée, il met clairement en cause la politique menée par les gouvernements successifs et la précarité qui lui était imposée. Nos pensées vont à cet étudiant qui est entre la vie et la mort, et à ses proches.

Au rassemblement au collége Lamartine, le Planning Familial 31 avait une table de tracts et affiches sur le consentement. On s’est dit que ça pouvait sûrement être utile à certain.e.s ici, dans leur travail, leur militantisme ou leur vie personelle.

Un texte écrit par des militantes du Planning Familial 31 à l’ocassion du rassemblement au collège Lamartine.

Une grève qui dure, des écoles qui affichent leurs colères, des actions, des manifs. L’éduc. nat. est vent debout contre la énième réforme tendant toujours vers plus d’élitisme, moins de moyens et plus de contrôle. Nous entrons dans le mois de l’examen sacré le baccalauréat...

Bientôt trois semaines de grèves reconductible et toujours la même détermination !
Parce que les contrats précaires dans l’éducation nationale n’ont pas attendu la réfome Blanquer pour sévir. Pour tenir encore, jusqu’au bac-block...
Soutenez la caisse de grève des personnels de l’éducation !

Le 5 juin, rendez-vous à 14h devant le Conseil Départemental et devant le Conseil Régional

On entend tellement parler dans les médias de prise d’otages dès lors que surgissent les conflits sociaux que l’envie est forte de ne pas se priver de cette expression dans le cas des gamin.e.s du collège Michelet à Toulouse.