Que serait l’État sans ses chiens de garde [1] ? La couverture médiatique des évènements de novembre illustre à merveille le rôle policier des médias, ce bras lettré de la répression. Notamment à Toulouse, où deux manifestations qui ont eu lieu la même semaine n’ont bénéficié ni de la même réponse policière, ni du même traitement médiatique... le deuxième épousant la première avec une remarquable discipline.
