Le 25 janvier le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, un ancien militant d’extrême-droite accusé d’agression sexuelle, faisait connaître son intention d’ouvrir la voie à une dissolution du média local d’information Nantes révoltée. La droite locale demandait déjà depuis quelques temps qu’on fasse taire ce média, elle semble avoir obtenu satisfaction. Si nous sommes habitué·e·s à voir le ministre s’agiter sans résultat, nous prenons très au sérieux la menace qu’il fait peser sur la presse libre. Pourquoi cette répression ?
