Ce n’est pas nouveau, en cas de crise, ce sont les plus précaires qui trinquent.
Depuis le confinement, les personnes mal logées, souvent avec peu ou pas de ressource, sont encore plus isolées de la solidarité et de l’entraide pour vivre dignement. Certain·es qui avaient des petits boulots les ont perdus. Il est désormais difficile d’accéder aux colis alimentaires, de faire la manche ou de faire de la récupération de nourriture. En soutenant les habitant-es des squats, ils-elles seront moins isolé-es et leurs conditions de vie (alimentaire et sanitaire) pourront être améliorées.
Nous appelons donc à une solidarité de quartier, puisque le début du confinement nous a prouvé qu’elle existait.
