Accuser les gilets jaunes de la faillite d’une palanquée de commerces toulousains c’est occulter les effets d’une crise qui ne date pas du mois de novembre mais de quelques années en arrière. En 2018, rien que dans ma rue, au moins une demi-douzaine de boutiques avaient mis la clef sous la porte en raison d’une augmentation des loyers qui empechait tout ce beau monde de faire perdurer leur activité.
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