A PARTIR DU 6.07 CONTRE LA PRIVATISATION PSEUDO ALTERNO

Un retour sur le Squat Henry Russell, un an plus tard (plus ou moins).

Le 14 mai 2018, le Collectif des Réfugiés Occupants du Mirail (CROM) ouvrait un grand immeuble de bureaux entièrement inoccupé dans le quartier Saint Michel. Ces derniers temps la préfecture multiplie les menaces d’expulsion. Pour y parer, un nouveau lieu est ouvert.

festival et oppressions (gard)

La campagne d’occupations continue et le réseau d’entre-aide essaye toujours de se renforcer. Pour participer à son organisation, nous vous donnons rendez-vous à notre temps de discussions et de décisions tous les mardis à 19h au 47 rue Vestrepain. Vous pouvez aussi venir nous donnez du matos la liste des besoins est à la fin de l’article.

Chantier collectif pour repeindre et aménager l’Atelier 47 rue Vestrepain à partir de 15h le dimanche 5 mai. On t’invite pour le casse croûte et la boisson. Si t’as des pinceaux et de la peinture en trop chez toi, ramène-les.

Les assemblées de l’Atelier rue Vestrepain se tienne pour que chacun.e puisse organiser des soirées de soutien, des permanences, des ateliers, des réunions... toutes sortes d’activités, ainsi que prévoir les futurs aménagements de l’espace collectif.

Depuis l’annonce de la mise en vente de l’Obs par l’Etat début janvier, on a décidé de préparer la contre attaque. Assemblées, projections, cantines, ... Autant d’occasions de se causer des manières d’empêcher son expulsion et des luttes qu’on veut y développer ici et maintenant. Le tout sur des bases autonomes, anti-autoritaires et féministes.

Communiqué de presse : à l’occasion de ses trois ans, Autonomie fait le point sur la situation au bâtiment .
On va pas vous mentir.
Y a le feu.
Au sens propre, cette fois.

Toulouse, le 1er Avril 2019. Après 5 mois de répit pour des milliers de familles et de personnes, les premières expulsions ont eu lieu en France. Elles étaient au nombre de 126 000 en 2017 , dont plus de 120 000 pour impayés de loyer, avec une augmentation de 49% depuis 2001, selon la Fondation Abbé Pierre. Toulouse ne déroge pas à la règle, notamment les lieux squattés.