Réouverture de la bibliothèque

• Dimanche de 14h à 18h
• Mercredi de 16h à 20h

Dans ce premier numéro, on parlera du confinement, du contrôle technologique et de la 5G (ainsi que de ses implications militaires), de l’apocalypse (et de nos petits potagers), de cette saleté de patriarcat ! … pour finir par un dossier « santé », de nos rapports à la folie, à sa romantisation ; aussi du courant hygiéniste à travers l’histoire de la médecine dite « sociale » de la gestion sanitaire de la « main d’œuvre productive » et de ses premières quarantaines,..
Voilà, bonne lecture !

Un spectacle féministe pour les enfants et tous les autres, le mardi 23 juin à 20h à l’Itinéraire-bis

• Rapport de genre et Lutte de classe-
  Podcast enregistré à la Bibliothèque Anarcha-féministe de Toulouse.
  Les rapports de genre dans le militantisme Toulousain, c’est comment ?

Trans pédes biEs gouines inters nos identités et nos fiertés sont politiques !
Rassemblement - Vendredi 26 juin 19h métro Capitole (square Charles de Gaulle)
À 2 jours du 28 juin, jour du début des émeutes de Stonewall

Du 27 juillet au 2 août, se tiendront les rencontres « Crise & Critique du capitalisme-patriarcat » sur les thématiques d’une critique du capitalocène, du patriarcat, de l’antisémitisme et du racisme.

Paru sur cric-grenoble.info
Tags contre la domination cis en milieu féministe

Traduction, certaines fois adaptée au contexte français, d’un questionnaire publié en 2001 sur un forum anarchiste états-uniens et disponible ici. L’enjeu principal de ce quizz est de questionner les rapports hommes-femmes sous des aspects très pragmatiques et de mettre en avant des éléments concrets de réflexion et d’action.

Le 8 juin, plusieurs collectifs, assemblées et associations féministes appellent à une journée de mobilisation féministe !
A Toulouse, rendez-vous à 19h sur les allées Jules Guesdes !

Je suis à chaque fois frappée par le vocabulaire entourant les femmes qui témoignent avoir été victimes de violences sexuelles. Elles seraient « dignes » nous dit-on. Elles auraient témoigné avec un « courage plein de dignité ». Le mot courage revient beaucoup également sans que personne ne s’étonne qu’il faille du courage pour parler de viol. On devrait dire qu’on a été violée comme on a été agressée dans la rue parce qu’il n’y a aucune honte à avoir, ni aucun courage spécifique à témoigner si ce n’est que nous sommes encore dans une société qui en veut, profondément, aux victimes de viol de l’avoir été.