Alors que l’année 2022 - celle de "la fin de la pandémie" - se termine sur une une cinquième vague de COVID-19 en un an, transposer les questionnements de cet article américain au contexte francophone ne rencontrera aucune difficulté tant le silence complice des journaux et revues de gauche sur les ravages de la pandémie pour les classes populaires et racisées est une fois de plus assourdissant.

Oi,
voici le mirifique nouveau programme du non moins flamboyant local, tout de palettes vêtu, qu’est le KIOSK ! Gloire aux palettes, sans qui l’autonomie serait un rêve encore plus lointain ! Mais je m’égare.
2022 est mort, vive 2023.

Le groupe Libertad vous invite à son ciné Libertad le samedi 11 février, 18h30.

Repas Vegane et Freegane distribué place Befort

Le Groupe Libertad vous invite à la projection du documentaire Les Handicaps Invisibles ou la face cachée de la normalité. La projection sera suivie d’une discussion sur le validisme.

Dans la nuit du lundi 26 décembre, la fresque sur le site d’Airbus St Eloi a été salie à l’huile de vidange et taguée : "A bas la guerre et son business !".
Airbus fabrique et vend du matériel militaire. Et les symboles patriotiques comme la devise républicaine, peints sur leur bâtiment, méritaient une petite redécoration.
Parmi d’autres dégueulasseries, Airbus fait aussi partie des entreprises qui exploitent la main d’oeuvre bon marché des personnes enfermées en taule.
Feu aux (...)

Le dimanche 4 décembre, pendant que certain-e-s fêtaient fièrement la victoire nationale à la coupe du monde, on a voulu exprimer notre dégoût pour la patrie et son armée.

Du 29 novembre au 1er décembre 2022, il y a la "Convention d’affaires internationales des industries aéronautiques et spatiales" AEROMART, au MEET de Toulouse.

Un bilan critique du courant anti-industriel, incarné par des groupes comme Pièces et main d’oeuvre, Oblomoff ou Ecran Total, des éditions comme La Lenteur, et des sites comme Sniadecki, et présent au sein de nombreuses luttes écologistes (anti-OGM, anti-nanotechnologies, anti-puçage, anti-Linky, ZAD de Roybon, etc).

Viennent de paraître des "lettres sur la peste" d’Olivier Cheval aux éditions la découverte, dans la collection de Lundi.am. La critique de la biopolitique gagne avec emphase ce qu’elle perd en portée critique. C’est la politique comme le virus qui s’en trouve écarté, pourquoi ?