Lors de son traditionnel discours aux armées du 13 juillet, le Président Macron prétendant lutter pour éviter l’embrasement au Proche-Orient, parle de Gaza comme d’un « drame » mais sans un mot de condamnation de l’entreprise génocidaire en cours, se contentant d’affirmer le cessez-le-feu « nécessaire », et répétant que « la sécurité d’Israël n’est pas négociable », ce qui n’est visiblement pas pour lui le cas pour la population palestinienne affamée, bombardée, opprimée, colonisée, humiliée en Cisjordanie également même si le génocide à Gaza a tendance à le masquer.