Nous ne paierons pas la crise. Le 17 septembre tout·e·s en grève : RDV 10 h Place Arnaud Bernard

Nous ne paierons pas la crise. Le 17 septembre tout·e·s en grève : RDV 10 h Place Arnaud Bernard
Du 27 juillet au 2 août, se tiendront les rencontres « Crise & Critique du capitalisme-patriarcat » sur les thématiques d’une critique du capitalocène, du patriarcat, de l’antisémitisme et du racisme.
Action dans le cadre de la lutte anti-pub
L’Association Table Rase, association marxiste d’échange et de débat, invite Daniel Tanuro, auteur et militant écologiste et anticapitaliste a venir nous présenter son analyse de la crise climatique globale et les stratégies qui s’offrent a nous pour l’arrêter.
La conférence aura lieu en ligne sur le lien indiqué plus bas le samedi 6 juin à 18H
Alors que l’État grec profite de la pandémie de COVID-19 pour intensifier son contrôle et sa répression, les anarchistes, les migrant·e·s, les prisonnier·ère·s et d’autres personnes s’organisent et ripostent.
De Rouen à Saint-Brieuc et d’Amiens à Marseille, une multitude de rassemblements ont marqué la première journée du « déconfinement ». Les plus importants se sont tenus devant les hôpitaux, en soutien aux soignant·es, parfois eux-mêmes en grève. Leur mobilisation exemplaire contre le Covid-19 autant que le mépris jamais démenti des gouvernements à leur égard préfigurent le rôle prépondérant des personnels médicaux dans les mouvements sociaux qui éclateront tôt ou tard.
Rassemblement distancié au Centre Hospitalier d’Albi
Samedi 16 mai à 14H
Deux mois de confinement. Notre patience est à bout et la colère envers ce système s’en mêle. Travailleuses, chômeurs, galériennes et exploités, nous n’avons pas chômé pendant ces mois d’assignation à résidence généralisée. Nous avons compris que le capitalisme tue plus que le virus, que sous prétexte d’état d’urgence sanitaire des mesures autoritaires et pro-capitalistes sont là pour nous exploiter d’avantage et tenter de nous faire courber l’échine. Mais comme pendant les mois de lutte Gilets Jaunes, nous ne lâcherons rien. Des solidarités sont possibles et nécessaires, notre rage prendra de nouvelles formes de lutte et nous ferons tout pour ne pas revenir à la « normalité » d’avant.
Dans la nuit du 8 au 9 mai à Toulouse une caisse d’Epargne a été la cible d’un tag « Macronavirus à quand la fin ? » et les vitres ont été brisées.
Dans la nuit du 4 au 5 mai 2020 les vitrines du crédit agricole, avenue des minimes, ont été brisée et étoilées ; tandis qu’un tag indique : "macronavirus, crise, STOP".
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