Quels choix faire face au décalage entre nos valeurs écolos, anticapitalistes, décoloniales, et les industries pour lesquelles on bosse ? Existe-t-il une technique “neutre” et un progrès scientifique “positif” dans le capitalisme industriel toulousain ?
Si tu te poses ces questions ou si tu as trouvé des réponses, viens discuter vendredi 17 mars à 18h au Chat noir, 33 rue Emile Puget

Le blobitch a eu son rendu et est expulsable immédiatement. L’huissier est passé. L’expulsion peut donc avoir lieu d’un jour à l’autre. Mais ça peut aussi prendre plusieurs semaines.
On a donc décidé de déplacer le précieux fond de livres, de revues et d’archives dans le grenier d’une personne du collectif, afin de ne pas risquer de les perdre.
Nous sommes en train d’installer toutes les brochures et l’infokiosque à l’Euforie, squat d’activités à compans, 36 rue du canon d’arcole, où les discussions auront lieu à partir du mardi 7 mars.
On vous y attend toujours aussi enthousiastes, pour mieux aiguiser nos pratiques et réflexions contre ce monde de merde !
Crève ce monde de flics, de proprios, d’huissier.es, de juges et de promoteur.rices !

Plusieurs personnes ont été arrêtées et accusées de sabotages de mâts de mesure de projets d’éoliennes, entre juillet et fin octobre 2022. Placées sous contrôle judiciaire avec obligation de verser une caution de 120 000 euros, elles ont fait appel de cette mesure, dont l’audience se tiendra le 9 mars prochain au tribunal de Limoges. Un comité de soutien s’est créé.

Un bilan critique du courant anti-industriel, incarné par des groupes comme Pièces et main d’oeuvre, Oblomoff ou Ecran Total, des éditions comme La Lenteur, et des sites comme Sniadecki, et présent au sein de nombreuses luttes écologistes (anti-OGM, anti-nanotechnologies, anti-puçage, anti-Linky, ZAD de Roybon, etc).

Nouvelle borne de recharge de voiture électrique incendiée boulevard de Suisse, à Toulouse, ce jeudi 10 novembre.
L’énergie est leur avenir. Fossile ou renouvelable, et surtout nucléaire, importée ou non, la production augmente toujours plus, définissant nos besoins et pourrissant des vies. L’état français veut rester dans la course des marchés énergétiques. La restructuration du parc automobile en est un, avec le plan annoncé pour 2030, de 2 millions de voitures électriques ; cela (...)

Le CRAS et les petites singularités vous proposent une soirée de partage et de réflexion sur les dynamiques narratives de lutte dans les milieux technologiques.

Le 20 mai 2017, Jérôme Laronze, éleveur bovin de 37 ans, est abattu par les gendarmes au terme d’une cavale de neuf jours. En conflit avec les services de l’État, l’exploitant bio, porte-parole de la Confédération paysanne de Saône-et-Loire, s’est soustrait à un énième contrôle sanitaire et a tenté d’alerter, au cours de sa fuite, sur le malaise de sa profession

Communiqué de l’Union des Clowns Léninistes :
Début avril, de dangereux anarcho-nihilo-aventuro-romantico-avant-gardistes sabotaient par le feu la production électrique alimentant les usines de Soitec et de STMicroelectronics, des établissements hautement stratégiques pour notre beau pays, dans un contexte de pénurie de composants (on en a besoin pour streamer sur Twitch).
Nous ne sommes pas opposé-es par principe au sabotage, mais comme nos ami-es de la CGT Ingés-Cadres-Tech et de (...)

Repris de Indymedia Lille : https://lille.indymedia.org/spip.php?article34981&lang=fr
Ce monde est chaque jour un peu plus irrespirable. Le système techno-industriel y est pour beaucoup. Pour ne pas se laisser étouffer, dans la nuit du 12 au 13 septembre, on a choisi d’attaquer. Sous les regards des corbeaux et de la lune, on a cramé une camionnette Scopelec.
Au moment d’écrire ce communiqué, on a pensé à Boris qui, après avoir été enfermé dans les cages de l’état, continue à subir la (...)

La nuit du 5 au 6 septembre, une borne de recharge pour voiture électrique a été incendiée dans le quartier des sept deniers à Toulouse.
Une averse nucléaire a provoqué une poussée de nouveaux champignons partout dans les métropoles, et Toulouse fait du zèle. Ni raison économique, ni transition dite « écologique » ne peut justifier ni le carnage social ni la destruction de l’air et des eaux.
Que les marchés s’assèchent plutôt que les rivières, que chantent les oiseaux et que les (...)