Action Inter-Lutte écologique et sociale contre les grands projets inutiles et les lois liberticides.

Action Inter-Lutte écologique et sociale contre les grands projets inutiles et les lois liberticides.
Jeudi 26, 19h30 au Hangar de la Cépière, des membres des faucheurs volontaires racontent la lutte qu’iels ont menée et mènent encore contre les plantations OGM et le complexe agro-industriel qui les produit.
Samedi 14 janvier au CRAS (39 rue Gamelin - métro Fontaine Lestang)
De 14h à 18h30 : Ateliers/réflexions sur le mouvement des ZADs puis restitutions en collectif
De 19h à 20h30 : Apéro en auberge espagnole (du vin chaud sera vendu)
Lu sur Squat.net (08/12/22)
Dans le cadre de la rentrée libertaire, l’UCL Toulouse et alentours a eu le plaisir d’accueillir Antoine Dubiau, pour discuter de son récent du livre Écofascismes aux éditions Grevis. Voici l’enregistrement de cette présentation.
A propos des violences qui découlent des divisions orchestrées par l’État et ses collaborateurs sur la ZAD de NDDL (Notre Drame des Landes)
Les 18 et 19 novembre :
Événement en 2 temps sur et pour les luttes des Zones à Défendre, les luttes contre les GPNI (Grands Projets Nuisibles Imposés) qu’elles soient locales ou plus lointaines - et contre les violences policières ...
Vendredi 11/11 au 6 rue Piquemil, il y aura de la musique pour danser, de quoi manger (à prix libre) et boire (à prix fixe) pour soutenir les Soulevements de la terre !
Nous devons comprendre la pandémie de Covid-19 comme une sous-crise de la crise climatique. L’inaction face au changement climatique, comme l’inaction face au Covid-19, n’est pas liée à un manque de reconnaissance de la gravité de ces crises, mais est due au problème de privilégier la création de richesse au détriment des vies humaines. Les décès dus à ces deux crises sont des meurtres sociaux.
Le week-end du 28 et 29 octobre, une invitation appelle à se retrouver pour empêcher l’installation d’une nouvelle méga-bassine. L’objectif est très clair mais il faut l’avouer, il semble difficilement atteignable. S’attaquer directement à des projets dévastateurs, à ceux qui les mettent en place et les protègent relève du bon sens, mais comment s’y prendre pour réussir ? Il faut paradoxalement se décaler légèrement de l’attraction que cette cible opère sur nous. Il faut moins penser à la destination qu’au chemin qui y mène. Ce qu’il faut alors, c’est accepter de livrer bataille, s’apprêter à marcher longtemps, courir et surtout, tenir dans les nuages de gaz. Ce qu’il faut, c’est mettre en échec le dispositif policier. Du niveau de puissance que nous allons déployer pendant cette journée dépend sa réussite. Parce que quand bien même nous n’arrivons pas à atteindre le chantier, ce qui se joue dans ces moments là dépasse la simple lutte contre les méga-bassines. Des complicités qui naissent sur le champ à celles qui s’organisent en amont, il y a là l’expérience d’une force à même de relever des défis bien plus grands. Mais pour cela, il faut se débarrasser d’un obstacle majeur présent dans cette lutte, plus précisément de son cadre de pensée.
Nommons-le : l’écologie.
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