Une permanence de 2h tous les mardis pour apprendre, échanger et se former au niveau du soin.

Après la catastrophe de Lubrizol à Rouen nous avons voulu faire un point sur l’état du désastre industriel dans l’agglomération toulousaine. A moins de 50 kilomètres de Toulouse, il y a vingt sites Seveso, dont treize classé « seuil haut ». Ce sont des sites de l’agro-industrie, des usines de produits chimiques, des sous-traitants d’Airbus, des dépôts de carburants, etc. Nous vivons à côté et nous avons voulu les rendre visible pour mieux les voir disparaître.

Je déteste « les réponses à » mais je savais pas quoi faire à la place. Alors ce sera une réponse à un texte que j’ai trouvé violent, me concernant, sur indymédia nantes. Le texte est copié ci-avant/après.

Le 5 juin, rendez-vous à 14h devant le Conseil Départemental et devant le Conseil Régional

Communiqué unitaire de plusieurs collectifs de street medics, en réaction à l’usage abusif du nom de cette pratique, ainsi qu’à certains actes commis en son nom.

Les cartons se préparent pour la Cité de la Santé priée d’aller soigner ailleurs. Place au luxe sur la rive gauche.

Les habitants.tes du 25 rue des artistes, aux 7 Deniers, à Toulouse ont toujours besoin de soutien pour tenir la permanence du PINKY, le piquet ANTI-LINKY en bas d’immeuble !

Les Habitants.tes de l’HLM du 25 rue des Artistes résistent aux poses de compteurs Linky depuis le 11 février ! Au piquet anti-Linky, baptisé PINKY, en bas d’immeuble de 8h à 18h on informe les voisins.nes de leur droit au refus et on résiste aux mensonges et pressions diverses des poseurs de compteurs de Paréra, sous-traitant d’Enedist.

Appel à venir tenir le piquet anti-Linky(siteur) du lundi au vendredi entre 8h et 18h. Une heure de votre temps suffit ! Aux artistes, on aime les bonnes ondes, donc on refuse Linky-sition !

Organisé pour : collectif brésilien https://www.leetchi.com/c/avortement-un-combat-permanent-43357361
Cagnotte solidaire en soutien à un collectif féministe brésilien qui milite en faveur de l’avortement. Il permet à des femmes brésiliennes de pouvoir accéder à l’avortement, alors qu’il est encore illégal au Brésil.
Plusieurs collectifs s’y organisent pour tenter de pallier aux lacunes du système de santé public de leur pays : Informer les femmes sur comment utiliser les médicaments (...)