Un journal ariégeois de l’état d’urgence avec des gants mais sans pincette
45e jour de confinement #DER

Un journal ariégeois de l’état d’urgence avec des gants mais sans pincette
45e jour de confinement #DER
Un journal ariégeois de l’état d’urgence avec des gants mais sans pincette
Numéro 7, 45e jour de confinement
Un journal ariégeois de l’état d’urgence avec des gants mais sans pincette
Numéro 5, 31e jour de confinement
Cette gazette ariégeoise à été lancée avec l’annonce du confinement. L’idée est de partager nos vécus, nos coups de flippe, nos tournages en rond, des textes qui nous ont parlé… La gazette des confinées est composée d’un panel de point de vue nécessairement contradictoire, comme ce qui se passe dans nos têtes.
Numéro 4, 24e jour de confinement
Cette gazette ariégeoise à été lancée avec l’annonce du confinement. L’idée est de partager nos vécus, nos coups de flippe, nos tournages en rond, des textes qui nous ont parlé… La gazette des confinées est composée d’un panel de point de vue nécessairement contradictoire, comme ce qui se passe dans nos têtes.
Numéro 3, seizième jour de confinement
Cette gazette ariégeoise à été lancée avec l’annonce du confinement. L’idée est de partager nos vécus, nos coups de flippe, nos tournages en rond, des textes qui nous ont parlé… La gazette des confinées est composée d’un panel de point de vue nécessairement contradictoire, comme ce qui se passe dans nos têtes.
Numéro 2, dixième jour de confinement
Un journal ariégeois de l’état d’urgence sanitaire avec des gants mais sans pincettes
Numéro 1, Troisième jour du confinement
Projection du documentaire écoféministe "Ni les Femmes Ni la Terre !" à Saint-Girons
C’est dans une course incessante au développement technologique, militaire et industriel que vient s’inscrire l’extractivisme. L’obtention des matières premières nécessaires à leur business de mort a un prix : quelques populations exploitées et intoxiquées par ci et quelques hectares de terre ravagées par là.
Après la catastrophe de Lubrizol à Rouen nous avons voulu faire un point sur l’état du désastre industriel dans l’agglomération toulousaine. A moins de 50 kilomètres de Toulouse, il y a vingt sites Seveso, dont treize classé « seuil haut ». Ce sont des sites de l’agro-industrie, des usines de produits chimiques, des sous-traitants d’Airbus, des dépôts de carburants, etc. Nous vivons à côté et nous avons voulu les rendre visible pour mieux les voir disparaître.
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