Analyse politique transphobie dans le féminisme cis.
Rapports sociaux de genre
Selon l’enquête Virage, dans les douze mois...
Selon l’enquête Virage, dans les douze mois précédant l’enquête, 580 000 femmes et 197 000 hommes âgé-e-s de 20 à 69 ans vivant en France métropolitaine déclarent avoir subi des violences sexuelles.
https://www.ined.fr/fichier/s_rubrique/26153/document_travail_2017_229_violences.sexuelles_enquete.fr.pdf
Rencontre avec Valérie Rey-Robert
Rencontre à la librairie Terra Nova avec Valérie Rey-Robert autour de son livre Une culture du viol à la française, paru aux éditions Libertalia.
11 Mai - "Saturday Night Valeur" - Soirée-concert de soutien au collectif Crise & Critique
#RadicaliseTaGauche #CritiqueValeurDissociation #StopAnticapitalismeTronqué
#ÉditionsCrise&Critique #RevueJaggernaut #RoswithaScholz #ChansonMétèque
Tounée d’avril Rapports contés des ratés qu’on porte
La compagnie des oubliettes en tounée dans le sud pour présenter leur spectacle Rapports contés des ratés qu’on porte.
Textes, mise en scène et interprétation : Gomzi Judalet, Nyno Langlois-Chevrier
Collaboration à la mise en scène : Corine Casabo et Léo F.
À partir de 14 ans
8 mars, entre zumba et exclusion
Un petit coup de gueule subjectif de la manif du 08 mars à Toulouse
Les « mecs de gauche »
#MeToo est comme une vague immense, qui ne cesse de se gonfler à partir des minuscules gouttes-d’eau-qui-font-déborder-le-vase, qui font qu’il n’est plus possible de se taire, que le spectacle d’hommes paradant dans leur coolitude, voire leur féminisme, à coup de rouge à lèvres comme D. Baupin, ou de ralliement bruyant et intéressé à la cause des femmes, est soudainement insupportable. Chacun ses moments [1].
Soirée féministe à l’Atelier 19/01
Soirée théâtre et hip hop à l’Atelier, 47 rue vestrepain
Communiqué du collectif d’orga suite à la « marche » de nuit féministe en mixité choisie sans mecs cis du 25 novembre
Un grand merci aux personnes présentes, à celles qu’auraient voulu l’être, à celles qui l’étaient de loin et qui ont soutenu la marche à distance. C’était incroyable, comme un virus dans leur système d’exploitation. On a fait trembler le goudron, hurler le vent et les voisins, on a fait peur, on a fait fureur, on était là, on n’avait pas peur, on était en furie, on n’a rien laissé aux gars cis, on a pris le temps, on a pris la rue, on a posé notre rythme, on a clamé nos chants, rappé et screamé nos sons. On était beaucoup et on a kiffé nous voir si nombreux.ses !
C’est beau dit comme ça. Mais c’est pas tout. C’était pas que ça. C’est triste, c’est révoltant, qu’il faille encore prendre les devants, encore combattre les systèmes d’oppression au sein de nos marches. Mais il est hors de question de se taire et de laisser faire.
Marche de nuit féministe en mixité choisie le 25 novembre
Marche de nuit féministe en mixité choisie sans mecs cis * contre les violences sexistes !
On prend la rue !
Dimanche 25 novembre - 19h - François Verdier