Plusieurs personnes ont été arrêtées et accusées de sabotages de mâts de mesure de projets d’éoliennes, entre juillet et fin octobre 2022. Placées sous contrôle judiciaire avec obligation de verser une caution de 120 000 euros, elles ont fait appel de cette mesure, dont l’audience se tiendra le 9 mars prochain au tribunal de Limoges. Un comité de soutien s’est créé.
