Les 18 et 19 novembre :
Événement en 2 temps sur et pour les luttes des Zones à Défendre, les luttes contre les GPNI (Grands Projets Nuisibles Imposés) qu’elles soient locales ou plus lointaines - et contre les violences policières ...

Les 18 et 19 novembre :
Événement en 2 temps sur et pour les luttes des Zones à Défendre, les luttes contre les GPNI (Grands Projets Nuisibles Imposés) qu’elles soient locales ou plus lointaines - et contre les violences policières ...
L’objectif de l’atelier est de faire un état des lieux des archives des luttes antinucléaires et de réfléchir à des manières de poursuivre le travail de collecte de témoignages.
L’atelier sera précédé d’une présentation du premier travail de récoltes de témoignage effectuée dans le cadre du film "Notre Terre Mourra Proprement".
Vendredi 11/11 au 6 rue Piquemil, il y aura de la musique pour danser, de quoi manger (à prix libre) et boire (à prix fixe) pour soutenir les Soulevements de la terre !
Le CRAS et les petites singularités vous proposent une soirée de partage et de réflexion sur les dynamiques narratives de lutte dans les milieux technologiques.
Nous devons comprendre la pandémie de Covid-19 comme une sous-crise de la crise climatique. L’inaction face au changement climatique, comme l’inaction face au Covid-19, n’est pas liée à un manque de reconnaissance de la gravité de ces crises, mais est due au problème de privilégier la création de richesse au détriment des vies humaines. Les décès dus à ces deux crises sont des meurtres sociaux.
Le week-end du 28 et 29 octobre, une invitation appelle à se retrouver pour empêcher l’installation d’une nouvelle méga-bassine. L’objectif est très clair mais il faut l’avouer, il semble difficilement atteignable. S’attaquer directement à des projets dévastateurs, à ceux qui les mettent en place et les protègent relève du bon sens, mais comment s’y prendre pour réussir ? Il faut paradoxalement se décaler légèrement de l’attraction que cette cible opère sur nous. Il faut moins penser à la destination qu’au chemin qui y mène. Ce qu’il faut alors, c’est accepter de livrer bataille, s’apprêter à marcher longtemps, courir et surtout, tenir dans les nuages de gaz. Ce qu’il faut, c’est mettre en échec le dispositif policier. Du niveau de puissance que nous allons déployer pendant cette journée dépend sa réussite. Parce que quand bien même nous n’arrivons pas à atteindre le chantier, ce qui se joue dans ces moments là dépasse la simple lutte contre les méga-bassines. Des complicités qui naissent sur le champ à celles qui s’organisent en amont, il y a là l’expérience d’une force à même de relever des défis bien plus grands. Mais pour cela, il faut se débarrasser d’un obstacle majeur présent dans cette lutte, plus précisément de son cadre de pensée.
Nommons-le : l’écologie.
Rassemblement au Testet (Sivens) samedi 29 octobre, 8 ans après la mort de Rémi Fraisse - Actualité des résistances aux projets nuisibles qu’on veut nous imposer.
Ca y est, les chantiers de la méga-bassine de Sainte-Soline ont démarrés ! On se retrouve le mardi 25/10 à 18h au Hangar de la Cépière pour préparer la manifestation du 29/30 octobre.
Retour sur une action chantée devant le siège de l’ANDRA (Agence Nationale de gestion des Déchets RAdioactifs) lors des RENCONTRES NOMADES 2022 (rencontres nationales des chorales révolutionnaires) à Bure.
Myriam Bahaffou est militante écoféministe et doctorante en philosophie. Son féminisme est révolutionnaire, intersectionnel, queer, antispéciste : dans ce livre mêlant récit, imagination et analyse, elle s’affaire à ancrer l’écoféminisme dans le quotidien et réaffirmer sa radicalité.
Vendredi 21 octobre 19h, au local Au Chat Noir, 33 rue Antoine Puget
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