Ces derniers mois il m’est arrivé deux histoires d’agressions sexuelles, et comme je suis une connasse de féministe et que je suis persuadée que le silence est notre pire ennemi, je me motive à écrire pour les raconter, pour qu’on puisse en parler, ou pas, pour savoir, pour ne pas culpabiliser, pour que ça se reproduise plus.
