Le 10 mars dernier, le PDG de la SNCF Guillaume Pepy sous-entendait dans une interview que la LVG [1], qui devait permettre de gagner une heure sur le Bordeaux-Toulouse, ne verrait jamais le jour. Le projet serait trop coûteux (neuf milliards d’euros selon les estimations [2])et la ligne ne pourrait être exploitée à son maximum sur une distance aussi courte. Suite à ces propos, Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse et président de Toulouse Métropole, très en colère et blessé dans son orgueil, a lancé une campagne de communication démesurée pour mettre les toulousain-es de son côté en leur faisant signer une pétition.
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