Le 4 novembre dernier se tenait enfin en Nouvelle-Calédonie un référendum d’autodétermination très attendu : pour ou contre la pleine souveraineté de cet archipel toujours possession française, bien que situé aux antipodes de chez nous ? Alors qu’une grande partie de la droite locale avait clamé haut et fort que ce vote allait définitivement enterrer la revendication indépendantiste, le oui emportait plus de 43% des suffrages, un score bien supérieur à ce qu’annonçaient sondages et nombre d’observateurs.
