« Aucune poursuite judiciaire » écrit la presse. L’image de Hassan menotté dans le dos a pourtant depuis été largement reprise par les médias français et étrangers pour illustrer « les perquisitions dans les milieux islamistes ». Derrière cette formule laconique se cache une injustice violente.
Témoignage recueilli et publié par l’observatoire de l’état d’urgence à Toulouse.
Deux jours après les attentats, quartier du Mirail, à Toulouse. En pleine nuit, explosion de la porte au (...)
