Un cas de Covid-19 a été détecté au CRA de Toulouse Cornebarrieu et l’État continue d’enfermer bien que les liaisons aériennes soient suspendues.
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Un cas de Covid-19 a été détecté au CRA de Toulouse Cornebarrieu et l’État continue d’enfermer bien que les liaisons aériennes soient suspendues.
Rdv le mercredi 15 juillet à 18h, Square Charle De gaulle métro capitole ligne A.
Nouveau texte tract AutonoMIE
Si le pouvoir n’entend pas, il faut crier plus fort !
Alors que l’État grec profite de la pandémie de COVID-19 pour intensifier son contrôle et sa répression, les anarchistes, les migrant·e·s, les prisonnier·ère·s et d’autres personnes s’organisent et ripostent.
Alors que les frontières sont officiellement fermées, le Centre de Rétention Administrative (CRA) de Toulouse Cornebarrieu continue de se remplir avec 4 personnes au secteur E et 12 au secteur D à la date du 15 mai. Des personnes de Paris, Marseille et Perpignan ont été amenées. Les sortant·e·s de prisons continuent d’être enfermé·e·s au CRA comme d’habitude, dans la logique de la double peine, les CRA étant devenus des annexes des prisons.
Appel lancé par nos ami·e·s à Lyon et relayé par plusieurs villes.
Contre le racisme, les prisons et les frontières, mobilisons-nous ! Covid ou pas, la répression est toujours là et il est important d’y répondre !
Appel à préparer des banderoles et des slogans pour le mardi 5 mai à partir de 20 heures !
Salut à vous, ami-es, camarades,
nous sommes quelques-un-es à en avoir marre d’être confiné-es, marre des discours dominants qui cachent encore et encore la violence du système, marre d’être impuissant-es face à une dépossession aggravée de nos vies.
Alors : qu’est-ce qu’on fait le 1er mai ?
À Gap,on sera dans la rue. On espère nombreux-ses, mais qu’importe.
Si la cruauté d’un Etat se mesurait à sa manière sadique d’enfermer ou de tenter d’expulser tous les sans-papiers, alors c’est sûr, la fRance décrocherait le pompon. Petit tour des régions pour examiner la manière dont les préfets se démènent pour faire du chiffre par temps de pandémie.
Il y avait au 16 avril encore 5 personnes au Centre de Rétention Administrative (CRA) de Toulouse, à Cornebarrieu. Le CRA enferme habituellement plus de 80 personnes, mais les demandes de mise en liberté massives, vu la fermeture des frontières, l’absence de trafic aérien, etc., ont permis un grand nombre de libérations. Pour autant, l’État refuse toujours de fermer les centres de rétention pendant la crise du Covid-19.
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