Le prolétariat s’affronte à l’Etat bourgeois

Les 21 et 22 octobre derniers s’est tenu dans le Tarn « Ramdam sur le Macadam », un week-end de lutte contre le projet d’autoroute A69 réunissant plus de 10 000 personnes. Nous sommes quelques personnes membres de la coordination de lutte contre l’A69 et nous aimerions ici prendre le temps de raconter de manière assez factuelle l’organisation et le déroulé des différents cortèges.

Vendredi 17 novembre de 19 a 21h.
Féministe, transnationale, anti-impérialiste.
Dynamiques révolutionnaires, résistances et résiliences en Palestine et en région.
Animé par une camarade franco-israëlienne et franco-iranienne.

On s’était installées à Euforie (un squat d’activité auto-organisé), c’était vraiment super de participer à cette dynamique. Le lieu a été expulsé le 30/10, juste avant la trêve. La bonne nouvelle c’est qu’un nouveau squat d’activité devrait ouvrir prochainement, en attendant le Placard Brûle sera en itinérance dans différents lieux camarades. On en profite pour remercier la BAF, le Chat Noir et la Turbine qui nous ouvrent leurs portes tant qu’on est en galère de lieu pour organiser nos évènements.

Rencontre, discussion et lecture avec les éditeur·ices du récit de Nikolaï Soukhanov, à l’Atelier des Cheminots, mardi 14 novembre de 19h00 à 20h30 !

Soirée présentation du livre “Brassens anarchiste”, en présence d’Isabelle FELICI, une des co-auteure, suivi d’un concert du groupe EMBUSCADE MASTER PILS.

Les archives et la bibliothèque du CRAS sont ouvertes au public les mardi et jeudi de 15h à 19h.

Un texte en trois parties, originellement publié ici. Il nous (pas les auteur·es) a paru pertinent de le republier ici car il nous semble apporter un éclairage approfondi sur les crispations autour du PIR et de la figure d’Houria Bouteldja.

Un texte en trois parties, originellement publié ici. Il nous (pas les auteur·es) a paru pertinent de le republier ici car il nous semble apporter un éclairage approfondi sur les crispations autour du PIR et de la figure d’Houria Bouteldja.

Après la lutte contre la réforme des retraites, faut-il jeter les syndicats avec l’eau du bain de la défaite ? La réponse « oui » est très tentante, tant l’issue du mouvement de 2023 conforte le syndicalisme comme un rouage de cogestion de la société de classe et de sa contestation, plutôt que comme un outil d’émancipation sociale. Pourtant il semblerait que cette bataille perdue ait restauré une certaine confiance dans les syndicats, ce qu’attesterait une vague d’adhésions sans précédant.