Samedi 24 novembre, les gilets jaunes manifestaient pour la première fois dans Toulouse. Croisant par hasard leur cortège, j’ai décidé de m’y mêler pour tenter de saisir un peu la portée de ce mouvement de protestation atypique. Écrit le soir même, ce retour qui pourrait paraitre anacronyque après les deux derniers samedi toulousain me semble malgré tout pertinent, même suite au passage de plusieurs jours d’émeutes.
