Flingue, Taser, Gazeuse... et ils n’ont pas réussi à expulser un nouveau squat à la Gare de Bègles, contre ses occupants : une femme (enceinte) et son copain (sur le toit), soutenu.e.s par des voisin.e.s.
Plus que jamais, on fait appel à l’auto-défense.
Répression
[Montpellier] Fiché S pour des supposées insultes anti-keufs
Témoignage de Jules Panetier, suite à sa garde à vue de 48h. Repris intégrallement du site du journal papier Le Poing.
Interview avec Marianne, prof de philo de Foix accusée de "provocation à la rébellion"
La radio ariégoise La Locale a interviewé Marianne avant son passage au tribunal de Foix. Retour sur un triste épisode de la lutte contre la Loi Travail dans lequel on s’en prend directement aux professeur.e.s qui ont le tort de faire réfléchir un peu trop leurs élèves... D’ailleurs, dit Marianne, depuis "on fait très attention à ce qu’on dit en cours". Des caméras ont été installé devant le lycée, et le portail a été réhaussé... On n’est jamais trop prudent.es !
Montpellier : les militaires prêtent main forte aux CRS
26 Octobre, Montpellier. une vingtaine de personnes manifestent contre les violences policières. Elles sont contenues par la Bac, puis les gardes mobiles.Puis 20 militaires, en tenue de combat et armés d’armes de guerre prennent position face à eux cf photo).
[Marseille] Quatre mois ferme pour outrage
Notre ami et camarade, qui a été arrêté lundi 31 octobre suite à l’expulsion du lieu ouvert au 9 rue Briffaut dans le week-end dans le cadre d’une manifestation et des ’Deux jours contre la loi Travail’, a été condamné ce mercredi 2 novembre à quatre mois de prison ferme avec mandat de dépôt.
La manière dont on se relève (L’Etat m’a tabassé, il continue son travail)
Une nuit de juin 2013, j’ai été attrapé par des policiers qui m’ont cassé le poignet en me traînant par les menottes jusque dans un véhicule et m’ont ensuite mis la tête dans les murs et portes du commissariat central de Toulouse [1].
L’invention de la BAC et le quadrillage sécuritaire des quartiers populaires
Les manifestations de policiers, parfois cagoulés et armés, se sont multipliés ces derniers jours – en plein Paris mais aussi dans plusieurs villes de France – pour réclamer toujours plus de moyens et de liberté pour réprimer ; comme si l’état d’urgence n’avait pas accru dramatiquement l’arbitraire policier, particulièrement dans les quartiers populaires sous la forme d’assignations à résidence, de contrôles au faciès et de violences policières multipliés.
Alors que les agents de la Brigade anti-criminalité (BAC) sont manifestement en première ligne dans cette mobilisation au croisement entre le renforcement autoritaire de l’État et la dynamique fasciste, il est utile de revenir sur l’origine de ce secteur des appareils répressifs d’État. C’est ce à quoi s’emploie ici Mathieu Rigouste, dans cet extrait du premier chapitre – intitulé « La ségrégation endocoloniale » – de La Domination policière (La Fabrique, 2012), montrant que le quadrillage sécuritaire des quartiers populaires imposé au cours des quarante dernières années prolonge – par d’autres moyens – la guerre coloniale.
Trollage, mythos et individualisme méthodologique : sur la difficile politisation de la lutte contre la répression en France
Ce texte est un retour sur la soirée sur la GAV proposée lors de "la grande évasion", et une réponse à l’attaque, aux insultes et aux contre-vérités exposées dans le texte "ne dis jamais : jamais, jamais" publié récemment sur IAATA
Communiqué des étudiant-e-s et enseignant-e-s de l’université du Mirail contre la répression, les violences policières, et le racisme
Communiqué des étudiant-e-s et enseignant-e-s de l’université du Mirail/Jean
Jaurès (Toulouse) réuni-e-s le 18 octobre contre la répression, les violences policières, et le racisme.
RDV en cas d’intervention sur la ZAD (+besoins)
Alerte à Toulouse en cas d’intervention à NDDL et Appel de la ZAD
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